UN MORT SUR ORDONNANCE
Les « Choses de la Vie » sont ainsi, et c’est toujours par « Le Mépris » que « Vincent, Francois, Paul et les autres » regardent la « Passante du Sans-Souci ». Lui, le bon vivant qui aimait la « Grande Bouffe », avec « Max et les Ferrailleurs », il regardait les « Demoiselles de Rochefort » comme le « Charme Discret de la Bourgeoisie » qui joue « La Chamade » de « La Femme en Bleu » pour le « Prix du Danger ».
Adieu, « Les Copains du Dimanche », toi qui fréquentait les « Sorcières de Salem », avec un grand « Mépris ». « Paris brûle-t-il » aujourd’hui comme un « Saut dans le vide » pour « Que les gros salaires lèvent le doigts » et nous apprennent son décès une semaine après que « Milou en mai » pleure sur ta sépulture. Une sorte de « Bal des casse-pieds » qui ne te connaissait pas, toi qui nous disait autrefois « Habemus Papam », et comme le « Chevalier de Maison-Rouge » nous disons salut l’artiste, toi le merveilleux « Don Juan » que nous n’oublierons jamais et qui nous laisse le « Goût des myrtilles » très amer.
Anonymode