ROUSTEING PIRATE DES QATARIS

Un « Wonder Boy » qui parle de la méritocratie, alors que, dans son cas, cela serait plutôt de la méritocra-sexe. En effet, très méritant le botoxé, hier soir sur Antenne 2, représente la mode avec seulement deux mots provenant de son neurone peroxydé. Mots, d’ailleurs, qu’on lui a appris juste avant l’émission. « Je veux faire bouger les lignes », mais dans son cas, les seules lignes qu’il sait faire bouger, c’est celle de la poudre blanche sur sa table basse avec son copain Stan. Pour lire plus cliquer ici

OSSIFIER ROUSTEING POUR BALTRINGUE

Camus disait : « Si tu habites avec un boiteux, tu boiteras bientôt toi-même ». Voilà quelques croquis de l’enfer sur un trône splendide du Qatar, un défilé médiocre que notre décadent a spontanément enfanté pour l’inexorable déconfiture du sens esthétique et moral de la couture. Une collection proche de la Côte mais « d’Azor le chien », ou de côte de « Bhopal » pour nous asphyxier.

Dans cet univers frelaté fourmillant de petits « créateurs » qui, au nom de la modernité, réingurgitent le travail de leurs prédécesseurs sans en avoir le talent. Cet Olivier fabriquant d’huile pense porter une aiguille comme une épée, mais celle-ci racle le ruisseau, et infatigablement, il copie ses prédécesseurs sans en avoir le génie…Pour lire plus cliquer ici

EDMOND ROUSTEING CYRANO DE BRIC-A-BRAC

C’est l’incertitude qui nous charme, et tout devient merveilleux dans la brume du vent de sable. Balmain, par l’intermédiaire de Rousteing, prêche dans « le désert des têtards », pour une collection sable destinée aux catins de supermarché. Mais, à quoi bon remettre à demain ce que l’on peut faire à deux pieds ! « Quiconque qui a connu la vie saharienne, sait qu’en apparence elle n’est pas que solitude et dénuement.

Or nous voici pour la première fois, à bord d’un rafiot grouillant de passagers entassés les uns contre les autres ne connaissant rien au désert, pas plus à la couture d’ailleurs. Nous sommes bien contraints de reconnaître, que le « coutumier » de la maison « Bastaing » qui voudrait bien être appelé couturier, ne propose pas plus que le vide sidérale et sidérant.

Un peu de Versace, de Yamamoto et de Jacquemus avec quelques foulards de soie Hermès, « qui filent un mauvais coton », font la structure de cette collection. Voici comment avec une débauche d’argent, on tue la création. Mais, jamais rien n’est sortie de génial de chez lui, seulement le génie de l’existence des autres. Bien sûr, il vous dira que (la mode est un éternel recommencement) et se justifiera de cette copie, mais toute œuvre issue de l’aiguille d’un créateur mineur ne peut être qu’un plagiat d’une œuvre maîtresse. POUR LIRE PLUS CLIQUER SUR LE TITRE…