QUAI DE SCÈNE DE MÉNAGE

Voici l’histoire des quais de Seine que l’on a « piétonnisé » pour en faire le soir à la fraîche une buvette géante, et un parking à bobos pour pique-nique du vendredi soir pour, au petit matin, les rendre au camion Derichebourg. Un chemin de Seine transformé en poubelles par des jeunes « Gringa Lait » comme des clous, et là, où je cherchais de l’or, je n’ai trouvé que des ordures. Ces crapauds de pissotières, au moment de plier bagage, synthèse de la connerie et pas éduqués, laissent sur les quais aux agents de nettoyage un spectacle désolant de bouteilles vides, sacs en papier, sachets de chips, verres… La plage s’est transformée en une montagne, mais de déchets !

Quelle dichotomie de voir la conciergerie devenir peu à peu les poubelles de l’histoire de la Reine « Magot » ! Voici les voitures de la capitale toujours plus nombreuses, et ces espaces de vie alcoolisées deviennent peu à peu des zones de non-droit, et dans quelques années on viendra nous dire que les jeunes et l’alcool sont un problème de santé publique. Entre ces jeunes puceaux dans un coma éthylique qui dorment dans leur vomi, et d’autres qui se battent gonflé d’alcool et de testostérone en abondance pour une belle anorexique que l’alcool a rendu canon, alors qu’elle n’était que pute de chantier.