Étiquette : Prada
LA PRADA FAMILIA 2022
Prada et la nouvelle collection automne-hiver 2022 par Miuccia Prada et Raf « Si monstre », notre couturier préféré, celui qui, chez Dior, avait relevé la marque avec brio ! Jour plus trois de la Fashion Week milanaise, dans l’enceinte de la Fondazione Prada, pour une mode où le cuir et les matières techniques règnent en maître, style Waffen-SS pour des trenchs à épaules XXL. Pour lire plus cliquer ici
PRADA HOMME 2022
Miuccia Prada et Raf Simons redéfinissent des nouvelles frontières ; le féminin l’emportant sur le masculin. Ces deux designers qui intellectualisent la mode veulent faire croire qu’ils ont trouvé une réponse en ces temps agités : la simplicité, la joie et la touche humaine, mais, en ce qui concerne la couture, c’est déjà moins brilliant.
Ils passent d’une collection précédente qui était sur la technicité et les machines, qui reflètent non pas l’humain, ni le réel, mais une expression plus directe de la couture industrie d’aujourd’hui. La grenouillère, pièce maîtresse de la saison, est présentée avec des poignets retroussés et déclinée en plusieurs variantes, allant des modèles unis aux modèles imprimés, dont certains à rayures verticales irrégulières. La grenouille n’ayant rien à voir avec la mode française. Pour lire plus cliquer ici
PRADA TRANSMUTATION 2021
Les co-créateurs Miuccia Prada et Raf Simons se sont plongés dans le concept de transfiguration. Enfin surtout Miuccia, car pour Raf vous savez ce que j’en pense. Voilà une nouvelle énergie d’optimisme qui s’est traduite par la belle collection annoncée par les attachées de peste, que Prada a dévoilé dans une vidéo. Dévoilé ! je pensais que l’on allait parler du superbe bateau Prada de la coupe de l’America, vous savez celui qui marche sur l’eau comme ces deux créateurs d’ailleurs ! Sentiment d’optimisme qui s’est traduit par une présentation sophistiquée filmée sur le même plateau que le défilé masculin, avec quelques variations de couleurs et de matériaux. Mais, une pièce « bleu Klein » vient attirer notre attention; très accrocheuse avec sa coupe rétro. Le Simons aurait dit : « le bleu « Klein », « c’est pour me remémorer le peintre », et son attachée de presse aurait rajouté : Monsieur Simons a travaillé chez Calvin Klein », confondant ainsi le peintre et le fabricant de Jeans. Pour lire plus cliquer ici
PRADA LA RAF SI MONSTRE
Raf Simons, le calviniste de la mode, vient de signer une nouvelle collection en collaboration avec Miuccia Prada qui ne doit pas connaître ses grands succès chez Dior et Calvin coin coin. Ce comptable architecte reste la matérialisation biologique du Designer d’aujourd’hui, c’est-à-dire une savante mutation génétique de très peu de talent, un soupçon de rien, et beaucoup d’arrogance mais assurément pas de poésie. Sa couture est comme La Fontaine affable. Sa mode n’a pas progressé d’un millimètre. Elle recule même. Mais, il est vrai que le seul examen qu’il a, à son actif, dans la couture, c’est ses analyses d’urine.Pour lire plus cliquer ici
PRADA LE DESERT DES BARBARES
1 714 habitants au dernier recensement, en 2018, à première vue, une petite ville, comme il en existe des milliers d’autres à travers les USA, sauf que celle-ci peut se targuer d’abriter une communauté d’artistes pointus, ainsi que quelques riches urbains en quête de grands espaces, mais aussi d’avoir, dans les années 50, accueilli le tournage du film « Giant », avec James Dean, et non pas la marque de vélos taïwanaise.
Donald Judd, pape de la sculpture minimaliste, y a posé ses valises au début des années 70 avec l’aide d’une riche fondation new-yorkaise. L’artiste (antimilitariste) rachète une ancienne base militaire à la frontière de la ville, déployée sur 400 hectares au cœur de laquelle Judd installe ses œuvres : dans les grands baraquements, des boîtes d’aluminium géantes, le long de la route, des cubes de béton… Pour lire plus cliquer ici
UN CARRÉ POUR SOI
« Il faut toujours être ivre, tout est là, mais de quoi ? De vin, de poésie, de vertu, à votre guise, mais enivrez-vous ! » disait Baudelaire. Moi, je suis ivre de soie, de carrés frissonnant comme la libellule qui file sur un corps splendide pour finir toujours par s’accoupler aux idées merveilleuses de l’harmonie. Je me souviens de ce carré de ma maîtresse, imbibé du N°5 de Chanel, qu’elle me faisait humer pour mieux m’aguicher. Elle m’entourait de son sillage si doux en m’enchaînant de cette chaîne faite du métal invisible des meilleurs gourous de l’île du Diable.
Y’A BON PRADA-NIA
Dans la devanture du magasin de New-York sont exposées des figurines qui ressemblent étonnement aux images de « Y’a Bon Banania ». L’entreprise de luxe dit qu’elle «n’a jamais eu l’intention d’offenser qui que se soit et qu’elle exhorte toutes les formes de racisme et d’images racistes, expose des portes clefs, qui font partie d’une gamme de produits appelée Pradamalia. Retirés après avoir suscité l’indignation et les accusations selon lesquelles ils représentaient des caricatures de personnes de couleur.