LIBERTÉ J’ÉCRIS TON NOM

A la renaissance, Descartes pense la liberté humaine dans son rapport à Dieu et surtout à la connaissance. Il s’agit d’une vision épistémologique. Plus tard, au XVIIIème siècle, ce concept entre dans le champ politique : Rousseau, Voltaire, Kant, Diderot font d’elle le pilier de la vie politique, censée garantir aux citoyens une participation dans les affaires publiques. Les Lumières feront entrer cette notion dans l’histoire avec la Révolution Française. Ce n’est qu’au XIXème et XXème siècle, avec les existentialistes, Kierkegaard en tête, puis Sartre et Heidegger, que la liberté devient existentielle et métaphysique.

LA LIBERTÉ DE BLÂMER

Il est vrai que l’on ne copie que les meilleurs ! Mais, là, c’est fort de café qu’un anonyme Dyptique ou dillnite puisse passer de l’inspiration à la copie pure. Eux qui ne savent probablement pas que le Spiritus veut dire « l’Esprit Divin ». Voici donc encore des barbares, des sauvages de l’esprit humain, qui lancent leur venin caché sous la langue de leurs avocats, des natures moyennes qui osent plagier la grande Chantal, papesse de la parfumerie, qui est à l’origine de parfums célèbres comme « Opium » d’Yves Saint Laurent « L’eau d’Issey » et bien d’autres… Une marque qui tonne « Dyptique » : quel orgueil de penser que non content de se comparer à une peinture ou à une sculpture, il pense que nous allons tomber dans le deuxième panneau. READ MORE…