Étiquette : HERMES
HERMÈS L’OPIUM DU BUG
Le cheval du Faubourg-Saint-Honoré donne un message positif à ses clients insatisfaits de devoir attendre leurs sacs à main tellement convoités. La maison du « Faux Bourge » a donc inauguré vendredi sa 19ème usine appelée « Atelier de maroquinerie » pour la circonstance. Ainsi, la capacité de production de la maison devient apparemment illimitée maintenant sur les modèles allant du classique Birkin aux nouveautés comme le 24/24 ; un nom prédestiné pour les trois-huit. Pour lire plus cliquer ici
HERMÈS CHAPEAU MEUDON ET BOB DE CUIR
C’est la Garde républicaine qui a accueilli la présentation de la maison du Faubourg. Après s’être désinfecté les mains et surtout la bouche, pour ma personne, en raison des éventuelles remarques que je pourrais éjecter sur la collection comme des « belles » de revolver, nous entrons dans l’antre du cheval, le seul endroit à Paris où Franck Sorbier et son géant nous avaient déjà emportés. Assisterons-nous à une collection du même niveau ? Entrant dans des tentes aussi obscures que les comptes de la maison aux caraïbes, nous sommes invités à mettre un casque sur les oreilles, il ne manque plus que le masque sur les yeux pour ne rien voir et vous pouvez ainsi vous imaginer l’archétype de journalistes que la maison aime à inviter.Pour lire plus cliquer ici
HERMÈS MINI MA LISTE !
Je me suis dit un jour que j’aurai un dressing minimaliste, mais quel couturier prendre pour ce cabinet de curiosités qui proviendrait d’un « Empire » que les bimbos confondent avec un Royaume où tout va encore plus mal qu’ailleurs. Et, bien oui « En Pire » ! Bref, si la terre est ronde, le monde est souvent plat, et personnellement, je n’aime pas trop ce terme de « minimaliste ». Je trouve qu’il a une connotation un peu austère. En fait, le principal est d’avoir les bons vêtements au bon moment et au bon endroit. Finalement, les choses se sont faites progressivement à l’occasion de rencontres, et le résultat est nettement au-delà de ce que j’aurais pu espérer : se sentir bien, en confiance dans ses vêtements et de s’habiller sans réfléchir pour un céphalo abstinent, c’est un vrai luxe ! Non ?
VRAIS FAUX D’HERMÈS
Une peau de lion, style descente de lit, une gueule ouverte qui n’avale rien, des dents superbes qui ne mordent pas, du rouge au cœur, mais c’est seulement une bordure d’andrinople, une queue flasque, prétentieuse ramenée sur le flanc, il croit encore que pour casser les vitres il suffit d’y jeter des pierres, et son éloquence est à l’éloquence ce que Monsieur Marrant est à Marrant.
HERMES LE NEZ EN BERNE
Christine Nagel, l’une des parfumeuses les plus respectées dans le monde, ne porte pas de parfum ; comme si un compositeur refuserait d’écouter de la musique. Totalement, hors du commun et absurde certainement, mais aussi totalement logique pour les gens de la maison du Faux Bourg. Hors normes, ceci est comme si nous avions rentré un percheron parmi les étalons.
Une Suissesse pour Hermès alors que la plupart des autres parfumeurs sont Français. La parfumerie est comme la couture et l’œnologie : les bons comptoirs font les bons amis. Et les propriétés de Dumas sont connues comme le houblon, mais face au château Yquem du Seigneur des Arnault, cela sent la bière. Donc Nagel deviendrait le parfumeur de la maison d’Hermès, ce qui fait d’elle la première femme à occuper ce poste. Elle qui voulait être sage femme, quand elle était jeune, la voilà à accoucher des parfums et des courbettes de femme de cour aux trois mousquetaires, qui, avec leur yeux de ces animaux ruminant, semblent refléter l’immensité des intelligences mycosées. Pour lire plus cliquez sur le titre
L’APRÈS COVID L’OLIGOPOLE DU LUXE
Il est vrai que la Maison du parfum N°5 et du tailleur en tweed orné d’un sac 2,55 avait vu avec les frères Wertheimer le pire dans les années 40, et ayant survécu à de multiples guerres mondiales, au krach boursier de 1988 suivi d’une Grande Récession et à bien d’autres événements qui ont changé leur vie, les frères des champs de course diront : « le pire n’est jamais sûr », mais ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort ».
Riche d’une histoire de 160 ans, l’héritage de Louis Vuitton veut cultiver un esprit d’avant-garde avec Prada et, pour cela, ils ont pris un Seigneur, cela n’est-il pas une gageure en transformant l’image que nous avions du luxe d’autrefois. Ainsi, le Seigneur impose une marque d’une puissance inégalée jusqu’à aujourd’hui de plusieurs milliards de dollars, employant des centaines de milliers de cerfs à travers le monde, et tout cela en seulement 30 ans. Il viendra voir Jacques Mouclier souhaitant son expertise avant de vouloir monter un groupe de luxe ; il faut l’avouer une performance d’avoir été si visionnaire.
Avec Richemont, les groupes de luxe et l’industrie de celle-ci se sont transformés en un oligopole virtuel, et il n’y rien à dire de plus. Mais ce secteur du Luxe va-t-il s’en sortir ? Attendez-vous à ce qu’il change à la vitesse de l’éclair, car « business is business and time is money ».
DE LA RUE DE LONGCHAMP A HERMÈS
HERMÈS LE CARRÉ D’ASS
Autrefois, on avait l’ambition d’accomplir quelque chose alors que maintenant il faut juste s’accomplir à être quelqu’un mais de rien. Recto-verso ou un foulard qui va rester dans « les anal » ! Voici le monde de Nabilla et consorts, les Bitumeuses et Sulfateuses du « faux bourg », vont pouvoir venir aux “sots d’air mèches”, dans le Grand Palais pour arborer leur Himalaya offert par la maison mais qui celle-ci fait insulte à notre intelligence en affirmant qu’ils n’ont aucun accord avec la Vénus crapuleuse chipoteuse, la plus célèbre de France. Un coup de couteau a son « con joint » et la voilà propulsée dans le monde des voyous, mais la prison lui a fait élaborer sa stratégie pour faire de la pub aux marques de luxe avec un compte Instagram bidonné.
HERMES ON EST CE QU’ON NAÎT
« Et pourtant, mon cœur n’a pas de ride » s’exclamait Madame de Sévigné. À son époque, les soins se résumaient au lait d’ânesse, au vinaigre ou à la fleur de Capucine, mais aussi au rouge de craie de Briançon et au blanc de céruse également appelé blanc de Saturne. Le tout était acheminé de Venise par les premiers marchands de fards. Voici donc la maison Hermès qui fait courir à ses clientes une course en arrière pour la quête de leur jeunesse perdue; un prix de diam avant l’heure.
Il va en falloir des rouges à lèvres, et des corps gras en pagaille, pour tartiner de rouge les lèvres sur-gonflées de Botox des clientes de la maison herpès. C’est le communiqué de peste qui nous a inspiré avec ces 75 000 échantillons de soie et ces 900 nuances de cuir que la marque a compressé soit disant dans un tube. Un emballage rechargeable pour la caution écologique, et, au final, une collection qui sera en boutique à partir du 4 « sur mars » exclusivement dans les boutiques Hermès vu qu’ils sont persona non grata pour les boutiques de la plus belle épouse de Moïse et de la fille de Jethro.
NOUVELLE TERRE D’HERMES
Jeudi soir dernier, Hermès avait invité toutes ses juments, qui sont les premières clientes de la maison, pour la réouverture de son magasin à San Francisco où ils sont depuis 32 ans. La marque propose une expérience événementielle, pour une ruée sur l’or de la « silly conne » Valley qui ne sera pas en reste, car la seule modernité de la maison sera bien le bracelet de « l’Apple Watch ». Un thème équestre, cela n’est que justice de rendre à césar ce qui appartient à cheval, et qui a bien failli appartenir au « Cheval Blanc ».
Un vaisseau « amylase » dans cette nouvelle boutique de 836 mètres carré de soie, un géant pour une société de luxe qui n’est qu’une puce face à celle du Seigneur des Arnault, mais nulle n’est prophète en son prémix. Un espace tentaculaire pour quelque 500 invités triés sur le « carré », qui ont pu admirer le fleuron de la marque. Des exclusivités de la maison pour ce site de San Francisco, dont un nouveau sac de pêche pour aller à « Fisherman Wharf », ainsi qu’un nouveau bracelet « Apple Watch » en cuir de veau, un clin d’œil du « foutage de gueuses » pour les clientes les plus « pur-sangs » de la Californie…
HERPÈS AU GRAND PALAIS
La maison du « faux bourg » sous la coupole du Grand Palais, un caramel qui colle au palais et menace la couronne. J’avais appelé le patron et l’on m’a dit qu’il était « Tailleur ». Cela m’a beaucoup étonné car j’ai beaucoup de respect pour cette noble profession. Un tremblement de terre de magnitude 15 sur l’échelle de « Hechter », un weekend d’envieux que la vermine éphémère qui démange un instant, mais qui finit toujours par « pet rire ».
70 euros pour un saut dans l’inconnu, une paille, mais pour regarder des dégénérés, c’est un Must si l’on veut rire. C’est le regroupement de la plus belle brochette de « DE » consanguins issues de mariages entre cousins qui viennent se retrouver au Grand Palais en famille. Des dégénérés, qui ne montent pas tous à cheval, des dents, qui se chevauchent, ou mal soignés pour cause d’investissement sur la toiture de la bâtisse familiale à restaurer
REQUIEM POUR UN BIRKIN
Malheureusement, avec des prix compris entre 7 000 € et 280 000 €, le sac Hermès Birkin n’est pas dans la sphère financière de nombreuses femmes ayant la fièvre acheteuse bien que Victoria Beckham et Kardashian puissent profiter des plaisirs d’un authentique sac Birkin offert par la maison. Pour la plupart d’entre nous, le sac mythique ne vit que sur les pages pelliculées des magazines. Mais, si vous êtes malin, vous pouvez obtenir le même style pour moins de 390 €, et croyez-moi personne ni verra rien.
L’image de cette icône est à la hauteur de Monsieur Dumas, père, ce genre d’homme que l’on appelait, autrefois, un Monsieur (Race de seigneur en voie de disparition contre une bande d’humains de contrefaçon). Bref, l’histoire raconte que Jean-Louis Dumas rencontre sur un vol Paris-Londres en 1981, président de la maison Hermès l’actrice Jane Birkin à côté de laquelle il était assis…
HERMES MANUFACTURE DES IGNOBLES
L’anagramme de « Gobelin » est ignoble ! Il est certain que les services marketing ne l’avaient pas vu. C’est un mauvais présage pour la collection d’Hermès qui se déroulait justement à la manufacture du même nom. Au milieu des meubles de style et du mobilier national, Hermès espère ne pas faire tapisserie durant cette Paris Fashion Week, une image subliminale afin de nous faire comprendre que la maison fait partie du patrimoine Français.
Loin, bien loin des créateurs du groupe LVMH et, surtout de Virgil Abloh, la nouvelle pépite de Vuitton, l’arménienne maison qui crée pour l’homme et qui devrait redessiner le marché de demain pousse une enclume avec un cure-dents, mais il est vrai que chez Hermès demain, c’était hier.