Étiquette : BALMAIN
BALMAIN POUR QUELQUES DOLLARS DE PLUS
Balmain collabore avec Netflix à l’occasion d’un film « The Harder They Fall » traduisez « Plus dure sera la chute », un présage certainement pour une chute de « rien ». C’est à l’occasion du film de Jeymes Samuel, produit par Shawn Carter (qui n’est autre que Jay Z) que ce film met en scène l’histoire d’un esclave afro-américain devenu l’un des plus légendaires cowboys du Far West. Un univers, qui passionne le jeune créateur, le Wonder Boy ayant confondu avec le Wonder Cowboy : « J’ai passé une grande partie de mon enfance à regarder des westerns américains », explique Olivier Rousteing, ce qui lui donne, en effet, une connaissance très approfondie de l’histoire de l’Amérique et de ses garçons Vachers, un « Broke Back Mondain » in black, pour un « long-métrage » qui aura certainement attiré le créateur. Mais, pour la couture, c’était déjà la même chose, il regardait la Reine du Shopping avec Cristina Gastrula. Pour lire plus cliquer ici
BALMAIN OUTRE-TOMBE
Convoquez un fantôme, c’est le but de la maison des » Acariens » et ainsi, vous vous rendez disponible pour celui qui veut raconter une histoire qui n’est pas la sienne. Voici l’homme couture, le plus démuni de la Fashion Week. Il est un lexicographe amateur à lui seule, un crachat glaireux effectuant lentement sa descente morbide vers le sol et qui vous répond : « je suis le trou noir de l’univers ». Comme une tente de bédouin que l’on aurait laissée sur le « faux bourg »
EDMOND ROUSTEING CYRANO DE BRIC-A-BRAC
C’est l’incertitude qui nous charme, et tout devient merveilleux dans la brume du vent de sable. Balmain, par l’intermédiaire de Rousteing, prêche dans « le désert des têtards », pour une collection sable destinée aux catins de supermarché. Mais, à quoi bon remettre à demain ce que l’on peut faire à deux pieds ! « Quiconque qui a connu la vie saharienne, sait qu’en apparence elle n’est pas que solitude et dénuement.
Or nous voici pour la première fois, à bord d’un rafiot grouillant de passagers entassés les uns contre les autres ne connaissant rien au désert, pas plus à la couture d’ailleurs. Nous sommes bien contraints de reconnaître, que le « coutumier » de la maison « Bastaing » qui voudrait bien être appelé couturier, ne propose pas plus que le vide sidérale et sidérant.
Un peu de Versace, de Yamamoto et de Jacquemus avec quelques foulards de soie Hermès, « qui filent un mauvais coton », font la structure de cette collection. Voici comment avec une débauche d’argent, on tue la création. Mais, jamais rien n’est sortie de génial de chez lui, seulement le génie de l’existence des autres. Bien sûr, il vous dira que (la mode est un éternel recommencement) et se justifiera de cette copie, mais toute œuvre issue de l’aiguille d’un créateur mineur ne peut être qu’un plagiat d’une œuvre maîtresse. POUR LIRE PLUS CLIQUER SUR LE TITRE…
BALMAIN AUTANT EN EMPORTE LE CHALAND
Pendant que Slimane fait du Slimane chez Chloé, Rousteing fait du Céline chez Balmain. Rousteing prêche dans le désert des têtards pour une collection sable pour catins de supermarché. Mais, à quoi bon remettre à demain ce que l’on peut faire avec deux pieds ! Le puissant message de mode d’Olivier Rousteing, qui vient de découvrir la « bourgeoise », alors que le fossé entre les nantis et les démunis s’élargissent et que les gens protestent dans les rues, n’en a rien à faire car les Qataris comblent le déficit de toute façon. Pour lire plus cliquer sur le titre…
BALMAIN A PORTÉE DE NAIN
Un budget de Qataries pour une Haute Couture de « cata rien », Rousteing ou l’handicapé de l’aiguille, le tueur plagiaire de la mode reste sans inspiration quand il faut donner la quintessence de son métier. Il montre, enfin, son vrai visage, celui que nous avions décrit, il y a déjà quelques mois, le visage du zéro de la création. L’homme couture le plus démuni de la Fashion Week, c’est un lexicographe amateur comme un crachat laissé sur le « faux bourg », martelant de son marteau aiguille le bons sens et la solitude de sa page blanche. Après Sorbier on peut constaté que devant les moyens de celui-ci et de la maison du même nom, Rousteing avec ses moyens illimités n’arrivent même pas à décoller du sol de quelque millimètres, alors qu’un vrai créateur avec peu de moyen, peut réaliser une collection si merveilleuse et envoûtante.
BALMAIN, LUNETTES NOIRES POUR NUIT NOIRE
« You Only Know My Name, Not My Story, » sur un T-shirt, comme le slogan de la collection, un gros B au sol et sur les poitrines une abréviation probable de bastringue, le vinyle en fête, style clubbing à la Hedi Sliman et style Black Panthères, c’était hier soir dans la Passy Fashion Week. La collection de l’enfant plagiaire de la Fashion a jeté son dévolu, cette saison, sur le plus noir des couturiers, celui qui a permis à Karl de perdre 40 kilos, j’ai nommé « Hedi Slim ». Mais, pour les Qataries, pas de problème, car ils n’y entendent rien à la mode. Le style sexy, qu’il propose, s’oppose au cérébral. Rousteing a réussi son coup : la mode ne parle que de lui mais, pour de mauvaises raisons. En tout cas, pas pour ses créations qui n’existent pas.