MARC JACOBS 2020 N.Y
Il a été directeur artistique de l’ensemble des collections Louis Vuitton de 1997 à 2013 mais cela vraiment sans convaincre. Aujourd’hui, il est Président du conseil des créateurs de la mode américains, un Pascal Marant Français sauf que celui-ci ne se dit pas économiste mais créateur de mode. Initié par sa grand-mère à la couture et au tricot comme Jean Paul Gauler, Marc Jacobs trouve très jeune sa pouah et s’inscrit à la High School of Art and Design, d’où il ne sortira jamais diplômé.
Aujourd’hui, le nouveau président de la CFDA (The Council of Fashion Designers of America, Inc.) toujours en association avec la Wintour, qui couchait déjà à 17 ans avec les clients de son père venus en weekend et trouvant ainsi un job qui lui n’était pas « blow », vient de dévoiler une collection qui est une copie d’Alessandro Michele pour Gucci, mais l’intéressé dira que ce concept « d’arsenic et de vieilles dentelles » est tendance. Un designer doué seulement en 140 caractères, un poète de moche qui nous donne sa prose en « vers », une nature moyenne qui aspire au grand sans pouvoir jamais l’atteindre, et qui fuit la vulgarité sans pouvoir lui échapper. Bref, un Américain !
Un US burger en édition limitée surtout pour le cerveau et plus viandeur que couturier, essayant de nous faire avaler un vin de messe périmé que l’on aurait versé dans la chaussure d’une Vicomtesse qui couve une blennorragie aigüe. Une « fast foutre fashion» qui a copié des créations, par manque de temps, pour donner au final un faux Kering complètement singé pas « King » mais complètement « Kong ».
La mode aux USA tombe bien bas mais il est vrai que, depuis l’avènement de Trump, les gens de goût sont partis. Depuis longtemps, il ne reste que les autres qui ont voté pour lui, et qui n’ont toujours rien compris à ce monde. Une présentation, le jour du 11 septembre, « un véritable attentat ! », ce qui prouve que l’on ne peut pas être à l’atelier de création et, en même temps, au bureau du CFDA, un cas d’école pour Pascal Marant.
Anonymode