LALA LAND VON BERLIN

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Alors que la Fashion Week de Copenhague s’est terminé le 10 août. Voici un label à ne pas manquer. Celui-ci a été remarqué par les influenceuses de cette monarchie constitutionnelle. Les danoises n’ont plus qu’une seule marque à la bouche : « Lala Berlin », un mur d’incompréhension qui ne s’écroulera pas avant 50 ans ! Basé en Allemagne depuis 2004, ce label est une griffe résolument pointue nous disent les bimbos de service : on y retrouve des casquettes façon surfeuses, des sacs monogrammés (mini ou maxi) à porter à la taille type Janus, mais également des pièces telles que des sweats… Bref, rien du vestiaire féminin digne de ce nom.

Le coup de cœur de nos amies asphalteuses ou bitumeuses, c’est selon, ces Venus crapuleuses tombent en extase devant une longue robe polka d’un violet profond, qui risque bien d’électriser la raison plutôt que la saison. Des robes à gogo pour jeunes filles en fleur qui aimeraient porter les vêtements de leur grand-mère, et en même temps, faire partie des solives de Woodstock avec fondement.

Voici Leyla Piedayesh, la femme couture la plus démunie du Jutland et lexicographe amateur d’un crachat laissé sur le «Traité de Kiel », martelant de son aiguille le bon sens, Leyla avec ses moyens, n’arrive à décoller du sol que de quelque millimètres seulement. Elle est l’ennui du genre humain, charlatante trompeuse « puisqu’il faut féminiser tout » ayant atteint son seuil de Peter. Il est probable, que cette majorette sans bâton, ne deviendra jamais une couturière digne de ce métier, et donc probablement invitée au prochaine collection de Paris comme évité.

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