DIOR UN THÉ A LA ROSE NOIR

BREAKING NEWS

Hier, au moment où le soleil était sur le point de se coucher, juste où le cycle de celui-ci plongeait dans les étoiles, là où, à cet instant, le sable du désert devenait d’un rose indéfinissable, comme si une vague dans sa grande justesse apportait sa force pour nous jouer le New Look masculin pour la prochaine décennie, a un point tel que c’était comme si le Maître de Granville était de retour.

Voici  la splendeur d’une mer de sable rose, le début d’une mode qui va briller pour l’éternité, et qui brille parmi la constellation couture, je retiens mon souffle à tomber dans une transe aussi forte que le séisme de la Soufrière en furie. Kim Jones tient le monde entre ses mains, il le serre contre sa poitrine avec toute la richesse de l’humanité, et se promène d’une étoile à l’autre pour nous offrir un trésor qui provoque en moi une faim de lumière.

Une déchirure dans la tempête de la Fashion Week de Paris, comme un appât mortel au fond d’une nasse pour nous emprisonner dans notre future passion, et je monte vers lui, et reste là à mordre les étoiles. Me voilà faisant partie de ces hommes que l’on distingue parce qu’ils seront de formidables et prodigieux messagers pour la marque Dior Homme.

Un vertige au milieu de cette mer de grève, là où la mode exhale une réflexion sur celle-ci, et là où les influences africaines font subir au poète la transhumance de sa pensée pour revenir à la vision de cette épure de génie, un voyage qui épouse le mouvement aléatoire de ma voie intérieure, une collection de l’absolu qui redéfinit la mode masculine et qui renverse de plaisir.

Anonymode