DIOR OH ! RAISON RUFLETTE

BREAKING MODE

Un seul « hêtre » vous manque et tout est des peupliers. C’était l’arbre qui cache la forêt. La Maria Chiuri, plus activiste que jamais, a pris le prétexte de l’écologie pour remplacer les arbres de la forêt Amazonienne. Son lieu pour cela : Longchamp et plus de 200 arbres en son centre. Là où il faudra des tonnes et des tonnes de carburant et de taxe carbone à re-financer pour finalement apporter le décor inadéquat à ce délire pseudo écologique à zéro émission, mais peu importe la fin justifie toujours les moyens.

Faire tomber des arbres du ciel, une sorte de « Fashion Pact » en réponse à Monsieur Pinault ! Le seigneur lui disant moi aussi j’envoie du bois. Un arbre, d’ailleurs, était tombé à notre arrivée et quand les hommes de la sécurité se sont précipités pour le relever. J’ai lancé : « c’est pas grave. Cela ne tache pas ». Les mannequins affublés des couettes de Greta Thunberg défilent entre les arbres sur la musique de Leipziner Chorale de Bach, et les loups autour de la forêt s’agitent pour que dans la pénombre les « Me-too » de service puissent enlever les petits chaperons gourdes.

L’énigme Maria Gracia se fait plus profonde que les lacs du « Conne et Marant », et la créatrice glisse doucement dans les profondeurs du néant, indifférente aux multiples prédateurs, et pourtant certaines gorgones arborescentes continuent à lui faire de l’oeil. Voilà une forêt cristalline du nord qui offre aux spectateurs un paysage d’épaves majestueuses qui gisent sur la France Galop pour au finalement ne pas arriver à briller malgré toute la splendeur de l’écrin.

Anonymode