DIOR LE SILENCE DES BIMBOS

Non classé

Pour la collection Dior 2022, le talent de la Maria Grazia « Chou riz » ronronne en veilleuse, mais c’est le « talent » de la monnaie Grec que souhaite le Seigneur. Nous assistons à une « Zara Iphication » de la Maison, mais il n’y a pas de raison que l’Espagnol Amancio Ortega soit le seul à gagner beaucoup d’argent. La créatrice avec l’association d’Éros et de Thanatos nous a endormis et la thanatopracticienne de Dior a réussi son coup, elle qui est sortie première d’un concours de circonstances. Elle avait bien caché son message pour s’attribuer tous les honneurs, comme d’habitude, derrière les ateliers de Dior et ses petites mains.

Erreur de la nature qui lui a donné la violence du mâle dans un organisme féminin ! Comme femme, elle inspire le peu, et comme homme, elle prête à sourire. Jamais elle n’eut ces frissons que la couture provoque chez un créateur. Manquant du bonheur de l’enfantement dans ses veines et de la folie dans sa tête, elle a l’encéphalogramme de la création « plat ».

Féministe victimaire et conflictuel usuellement, cette fois-ci elle ne fait plus de prosélytisme mais continue à penser que l’homme domine la femme. D’où pourrait lui venir cette idée, ne connaissant que la nymphe ? Choisir le musée Rodin pour un propos féminin,  je le conçois. Un éduqué de la Maison du Maître de Granville lui aura soufflé le nom de Camille Claudel. Merci aux ateliers car les techniques Haute Couture sont là, mais absentes de création, faute de créatrice.

Anonymode