DINAN FASHION WEEK

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C’est bien loin des tracas de ceux qui pensent qu’aller à Toulon, fait des modeux, plus morveux que moqueurs, d’ailleurs. C’est dans la région de l’homme d’affaires, François-Henry Pinault, près du détroit de la Rance, là où la Duchesse Anne de Bretagne, quand elle se marie à François 1er, crée la cour et ainsi éduque les courtisans à l’élégance Celtes et à la langue française. Bref, une histoire de mode que, même, Monsieur Didier Grumler ne connaît certainement pas, et nonobstant, pas plus le Damien « Ile Rez Elle ».

Un diplôme comme vous pouvez le voir sur la photo, pas vraiment truquée, où l’allemand sponsor, adepte de la saucisse de Francfort, impose ses conquêtes de la nuit dernière avec ses couples de morpion. Sorte de Patrich Hearf du théatre des Jacobins, le choix du roi mais celui-ci aussi d’un Kaiser de la Grande « Messe »  venu des Germains.

Un évènement animé par un chien qui habilement a repris derrière Dinard le lead pour en faire un outil dévoyé à la villa « No Ail » que l’odeur nauséabonde de compromission embaume toute la vase de la Rance. Assis sur les gradins du cirque des Jacobins, il regardait en silence, pensif, défiler sur la piste au son des flonflons, des clowns, des illusionnistes, des joueurs de grosse caisse, des sculpteurs de bulles de savon et des montreurs de chimères. Il savait ce qu’il n’aimait pas mais était incapable de dire ce qu’il aimait. Il savait ce en quoi il ne croyait pas mais était incapable de dire ce en quoi il croyait. C’était un homme en creux. Il savait très bien ce « qu’il n’est pas » mais était incapable de dire « ce qu’il ».

FM