GABRIELLE COCO PHARRELL
Le porte-drapeau de Chanel, le Coco Pharrell, qui en Corée du Sud ouvre l’espace de la marque aux deux « C » pour accueillir la capsule homme. Une capsule ! Après la fusée, pourquoi pas ! Cent fois sur le métier remettez votre outrage. Un Coco Pharrell, « qui ne voit rien, mais qui invente tout ! Qui ne comprend rien, mais qui déforme tout », comme ces esprits d’une sécheresse supérieure. Tout en surface sans profondeur, n’ayant ni sentiment, ni passion, ni enthousiasme, il est comme le trou du dessinateur à l’emporte-pièce, il remplit les creux du travail d’autrui. Pharrell Williams constate que la marque continue à le prendre dans ses bras et à lui ouvrir ses portes : »Je sais que cette opportunité n’a jamais été offerte à qui que ce soit, et je tiens simplement à dire à quel point je suis reconnaissant ». Tu peux mon neveu! car du temps de Mademoiselle Chanel tu serais de retour au commerce, mais triangulaire, car elle ne poètait pas plus haut que son luth.
Une soirée avec Jennie Kim, rappeuse, mannequin et danseuse sud-coréenne du groupe Blackpink et aussi le rappeur Jay Park, qui étaient ravis de voir la collection pour la première fois en boutique. Bien que la presse ait spéculé sur le fait que cela pourrait être le moyen utilisé par la maison de « luxe » française pour tester le marché du vêtement pour homme, le rappeur d’Happy aurait déclaré : « C’est unisexe, » sans convenir que le sportwear est un piège pour les marques de luxe dont celles-ci ne se relèveront pas. Mais allez expliquer cela à des agoraphobes, sourds comme le serait un allemand à petite moustache carré dans son bunker de Berlin.
Le Coco Marcel porte une paire de lunettes de soleil rouges de sa propre marque, qui ,bientôt, fera une belle concurrence à la marque, et on appellera cela dans les écoles de commerce le « syndrome Kardashian ». Le président de Chanel, Bruno Pavlovsky, un grand rappeur lui-même, a également insisté sur la nécessité de ne pas sur-analyser cette capsules, préparant son parachute en cas d’échec. Mais, à force de copier LVMH, le nouveau groupe de rappeurs bobos de Neuilly, Auteuil, Passy du Seigneur des Arnault, il finira par transformer sa capsule en suppositoire que l’on veut nous emboîter à force dans le fondement, avec lubrifiant N° W5 de C.
La maison, qui prépare une célébration pour Lagerfeld, le 20 juin à Paris, mettra peut-être un peu de ses cendres dans cette capsule, puis direction Mars par Elon Moche de « Teste là », car si haut que l’on monte, on finit toujours par des cendres, et si ce jour-là, la lune est pleine, une chose est sûre, ce n’est pas Karl qui l’aura mise dans cet état.
Anonymode