CHASSEUR DE THÈTES

PARIS HAUTE COUTURE 2021

J’ai souvent eu l’occasion de rencontrer dans les entreprises, ces intelligences « Ribéri-siennes » choisies par des Chasseurs de « bêtes » qui, eux aussi, pour la plupart sont des sources originelles d’intelligence mycosées et qui viennent sélectionner pour les entreprises leurs employés ! Chassant ainsi dans le vivier de ceux qu’ils connaissent le mieux, les bannetons d’imbéciles qui leur ressemblent le plus. Des bardaches adeptes du banal, mono-neuronal pour un métier qui existe depuis que les Arabes choisissaient les employés pour les champs de coton et le commerce triangulaire.

Choisir des imbéciles pour produire un cocktail digne de la société Française. Mais, « hush hush », ne le dites à personne car ces humains de contrefaçon, à la moindre remarque sur leur personne, vous black-listent dans une base secrète d’andouilles de Guéméné et envoient des emails pour tenter de vous discréditer, au mépris des lois de ce pays. Des vendeurs de rien à tête d’éponge qui se prennent pour des maîtres de la réflexion, à la même heure où les techniciens de surface viennent faire eux un vrai travail. Ils ont des idées empruntées à autrui qu’ils ne comprennent pas d’ailleurs, car le subtil leur échappe. Minus avec la même profondeur de jugement et la délicatesse des concierges, ils sont comme les « mignons » d’Henri III, et en bon fils de familles entretenus, ils se contentent de laisser une trace argentée au sol, mais elle n’est pas d’écume.

Sorte de latrine ambulante qui est la preuve vivante de l’abaissement de la nature humaine de ce siècle, comme des morpions qui seraient tombés par hasard dans l’Olympe et seraient juge de l’intelligence du cul de Minerve, un comble ! A l’école, ils faisaient, dans leur jeunesse, déjà l’appétit de tous les goûts antinaturels car, dans leurs cas, l’horreur est humaine.

Je les appelle cuistre « istre étant un ornement ». J’explique car la synthèse de leurs neurones au chômage technique ne comprendraient pas. On s’attend à une réponse digne d’un aigle et nous finissons par avoir celle d’un « faux con ».

Anonymode