ISSEY MIS ACQUET DE COULEUR

Issey Miyake et la poésie de l’insaisissable ou le pli du cœur du Japon millénaire. Pays du Soleil Levant, si proche de notre culture,  les couleurs d’Issey sont vives. Un « plissé n’est pas toujours joué », un souffle aussi de beauté en ces temps de grisaille, une plongée dans la continuité pour ce Samouraï de la couture qui fait la guerre au laid et à l’alambiqué.

La poésie d’Issey interprète le cœur humain, elle est plus qu’un jeu de files, elle use des sonorités et des sens pour exprimer les sentiments les plus nuancés, et évoque des images qui résonnent puissamment dans notre imaginaire.

YAMAMOTO POÈTE DES TÉNÈBRES

Il connut pour son amour du noir, de l’épure et des coupes asymétriques. L’imprévisibilité est un élément substantiel de la création asymétrique. Elle crée un effet de surprise favorable au regard, et l’ignorance du public est un atout aux mains du créateur Nippon. À ce facteur, s’ajoute l’anxiété de créer par l’incertitude d’une réitération des actes. L’anxiété est encore accrue lorsque le couturier nous plonge dans ses structures.

LEO NANARE AINSI SOIE T-ELLE

C’est à Biarritz que la marque, qui ne pense qu’à « soie », vient de réaliser ce court métrage, et je ne peux m’empêcher d’imaginer un Trifoullard sur une planche de surf, et qui, plus est, avec un kimono « Made in China ». Les planches étaient bien là, et les mannequins aussi, loin très loin des Kardachiantes & Cie qui arborent leurs « Glandes Ma Mère « , les plus fausses de la Fashion Week. Le mot est lancé le faux, en effet, qui pourrait nous laisser croire que la maison de Léo Nanare pourrait être un couturier à part entière, alors qu’il n’est que l’abîme de  « soie » et qui file d’ailleurs un mauvais coton, quel euphémisme !

RICK OWENS SPRING 2021

Grandes étendues et poète moderne d’un monde en mutation, inspiré par René Barjavel et Issac Asimov sur le futurisme et le passé antérieur, l’année du rat commence par la grande fièvre qui décimera la population de demain. Dans des mégalopoles surpeuplées, le but est de sauvegarder sa vie en refondant un semblant d’humanité qui n’accueillera, bien entendu, que les survivants…

Entendez-vous ces voix multiples, et ce sentiment étouffant que la mort se niche à chaque tournant, à travers des tenues du futur proche si proche. Comme une épopée dantesque, une réflexion sur le monde et les périls qu’il encourt, voici le monde tel qu’il est, nous dit Owens.

CHLOÉ ANTI-POÉSIE 2021

Le ciel est si gris, en ce matin, dans le Palais de Tokyo, et les arbres si grêles semblent sourire aux robes qui flottent légères dans l’air de Paname. Nonchalance des mouvements des mannequins qui défilent dans les rues adjacentes comme perdus dans la foule, et un vent doux ride l’humble fleuve au pied du Palais que le soleil n’arrive pas à atténuer par l’ombre des chênes de l’avenue en contrebas…

DOLCE & GABBANA PASSIONNEMENT

Quand patchwork tu feras, cela sera minutieusement, et tous les tissus, tu décatiras si tu ne veux pas de désagréments. Les gabarits, tu découperas marquant les coins évidemment. Carré, rectangle, triangle, tu assembleras les couleurs harmonieusement.

Biais et droit fil, tu manieras pour une bonne tenue de l’ensemble, naturellement. De Gabbana, tu réfléchiras pour coudre plus harmonieusement. Jamais couture, tu n’ouvriras, ni tu fixeras évidemment. Des nœuds, tu ne feras, même sur l’envers, honnêtement. Petite aiguille, tu tireras pour la doublure si patiemment. Pour la finition, tu t’appliqueras artistiquement…

BALMAIN OUTRE-TOMBE

Convoquez un fantôme, c’est le but de la maison des  » Acariens  » et ainsi, vous vous rendez disponible pour celui qui veut raconter une histoire qui n’est pas la sienne. Voici l’homme couture, le plus démuni de la Fashion Week. Il est un lexicographe amateur à lui seule, un crachat glaireux effectuant lentement sa descente morbide vers le sol et qui vous répond : « je suis le trou noir de l’univers ». Comme  une tente de bédouin que l’on aurait laissée sur le « faux bourg »

KENZO UN VESPA CHIENNE

Le logo était une abeille et nous avions pensé que nous allions voir du Guerlain. Malheureusement, nous avons fini par avoir le bourdon. C’était la présentation de la collection du plus tranquille comme Baptiste des couturiers, au Luxembourg, entendez par là dans le parc et non pas le pays dans lequel la société a son siège social. Comme un message que le créateur nous enverrait : Stop, Livrez à moi-même – Stop, colis perdu – Stop…

DIOR HYPERACOUSIE

Des sons qui deviennent désagréables, voire insupportables et parfois même douloureux, car le seuil d’inconfort auditif étant atteint. La Maria veut nous rendre sourd à défaut de nous rendre aveugle, tellement inconfortable que la collection est passée inaperçue, dans un décor de la Sainte-Chapelle aux Tuileries. Rien à voir avec l’article sur la « Chapelle Sexe Teens  » d’hier. C’était une pure coïncidence pour protéger mes sources dans le groupe.

JE VÉGÈTE A RIEN

Paris est divisé en deux catégories : à l’Est, les bourgeois-bohèmes appelés plus communément les Bobos et à l’Ouest, les Bonobos. Ce Paname est un grand cercle avec des arrondissements en forme d’escargot, et c’est probablement pour cela que l’on en bave un max. Dans la mode, on en bave aussi, mais celle-ci est celle du crapaud, et les nombreux Vegans ne se rendent pas compte qu’ils vivent dans une profession remplie d’animaux : Il y a des blaireaux, des requins, des lapins (je ne vous fais pas un dessin), des maquereaux, des poules mouillées et des gros porcs, que je n’ai jamais balancé car moi j’ai le respect « d’eau truie ».

MAISON LAVOINE ET A LA VAPEUR

C’est le décor d’un cabinet de curiosités postmoderne qui vous fait les « Yeux Revolver » pour Bobos Parisiens friqués et qui ne manquera pas d’éveiller la vôtre. Table intime et confidentielle que nous vous recommandons pendant la Covid-19. Vous déjeunez dans la boutique dans un espace pensé, comme à la maison. Miraculeusement chaleureux, lumineux et signé Sarah Lavoine avec un nuancier de couleurs du vert au bleu en passant par le noir, c’est ultra parisien et non pas à « titi-pique » mais surtout pas de touriste de l’Empire du milieu à l’horizon, seuls passent par ici les connaisseurs. En effet, il faut connaître le restaurant car il a deux entrées, une place des Victoires pour les gens de mode, et l’autre 6, place des Petits Pères, qui eux ne sont pas du peuple.

UNE MARÉE CHAUSSÉE DE SOUTIEN

AH… Quelle histoire ! Pour deux mamelons et un bout de sein dans l’air, que nous pouvons voir régulièrement dans les collections de couture et dans les backstages – Il y a bien plus important que cela – des gendarmes interdisent des obus, que Maître Pitanguy gonflé de tout son orgueil transforme, pour des Vénus crapuleuses qui armées de ces deux attributs métamorphosent les douces plages en canon de la beauté. La femme abandonne le haut, et la police intervient suite à une dénonciation ! Nous voilà revenus en 1940 où les concierges dénonçaient les anti-germains.

CÉLINE PAS TIK COMPLÈTEMENT TOK

C’est sur la plateforme TIkTok que, chez Céline, Hedi Slimane, le « Clubinard », nous raconte son histoire des années 80 après nous avoir raconté la saison dernière celle des années 1970. Plateforme qui ne compte seulement qu’environ 5 000 spectateurs, et sur laquelle nous avons pu suivre en direct son défilé printemps-été masculin, avec des mannequins qui se promènent sur une ancienne piste de course automobile près de Marseille, probablement cause : proximité des vacances oblige.

Le défilé de Hedi Slimane semblait viser directement la Génération Z, même si certains utilisateurs de l’application ne semblent pas avoir la moindre idée que Céline est une marque de mode française de luxe et que Slimane est un couturier connu. « Changez de chanson »! hurlaient d’innombrables TikTokers (toujours la même rengaine qui tournait en boucle) fatigués par cette litanie.

LES BRAS M’EN TOMBENT…

Ils doivent souvent frémir ! les traîtres au frottement de la soie de Canovas, et se dresser altiers et tremblant sous la fibre protéique. Inexplicablement (pour ceux qui ne connait pas Newton) la gravité les entraînent souvent dans un chute vertigineuse. Au premiers jours, ils se lèvent, gonflés de sève et d’hormone due à leur jeunesse. Souvent je suis subjugué de ces fruits qui sont toujours en couple, je m’abreuve du désir ou de la Poésie de pourvoir les regarder, se balancer muée par leur lourdeur naturel qu’il s’impose.

LES CORBEILLARDS ATTACHÉS DE PESTE

Ce sont de grands chalands qui habituellement relient Paris à Corbeil. Ils sont appelés des « Corbeillards » . Ils livraient jusqu’alors diverses marchandises pour nourrir la capitale. Ils deviennent exclusivement dédiés au transport des dépouilles des pestiférés de cette peste bubonique. Le corbillard n’est que le souvenir lexical de cette sombre période. C’est pour cela que les mots en Français ont toujours un sens.

VALENTINO DANS LA VALEUR DE LA NUIT

Une danse noueuse sous un masque de vie, une mine langoureuse fondue de mépris dans la froideur des âmes qui flottent encore autour de l’Italie. Le voile hagard de la lune déchire la nuit et couvre de sa blancheur la lumière qui imprime sur les robes. Une idée du Maître Sorbier, il y a 10 ans déjà ! Mais qu’importe ! La bise remue l’eau du lac et les tons blancs se fondent dans la lumière de l’objectif d’un océan de fortune.

BLACK MATTER ET CHAMPS DE COTON

Voilà le paysans provençal couturier de son étoient, qui dans sa collection nous donne pour le « Balck Matter » et sa propre définition. Des filles des Maître dans les champs de coton qui son aujourd’hui de blé. Sorte de Mississippi Burning  dans le songe de Django pour la défonce des Afro Européen; Et par un marseillais qui pour la plupart du temps sur les stades de France éructe des bruits incongrue de singe à l’arrivé de Pogba et consord. Et pourtant s’il savait que depuis Toumaï l’Homo erectus était noir, pourtant dans la couture ont si connait.

FOURNIÉ OU LES ANNÉES 50

Julien Fournié n’est jamais aussi bon que quand il donne son travail sur la mode des années 1950. Il avait déjà fait une collection sur Hollywood à l’oratoire du Louvre qui était de toute beauté.

Mais il vrai que, dans ce contexte d’après-guerre, justement en 1950, il y a une floraison de Maisons de Couture, et que la femme n’a qu’une envie après les différents conflits en Europe, c’est de reconquérir sa féminité ! Alors, après la guerre de la Covid-19, que Macron nous a annoncés, voici l’après-guerre pour Julien Fournié et cela ne pouvait être qu’un rappel aux années 1950.

JULIE DU BILAN RYKIEL

Elle fait partie de l’académie de la couture, celle du commun des immortels. Hélas, Julie du Liban n’habite pas Beyrouth ! Elle avait déjà réussi à faire de Sonia Rykiel ce que la maison est aujourd’hui, et malheureusement pour nous, la leçon ne lui a pas suffit, elle continue à sévir, mais cette fois, dans la haute mouture, pensant peut-être qu’elle aura plus de succès ! Dans sa vidéo, elle explique un métier qu’elle ne connaît visiblement pas, et à son âge, déjà très avancé, il est probable qu’elle ne soit plus en mesure de l’apprendre.

SORBIER LA PESTE DES BARBARES

Comme un éclair violent jeté à la face du monde, voilà le couturier dans son approche de l’immortalité des grands artistes. C’est un feu divin qui l’anime, il méprise les choses communes et cela me ravit. Voilà la féerique perception des choses qui changent chaque saison et qui est toujours une aventure pour la déesse Vénus. Le voici hissé au rang des autres dieux de la couture en sublimant le sublime et en créant l’immortelle beauté.

STEPHANE ROLLAND L’AMBROISIE COUTURE

Elle est criante de vérité cette femme en longue robe poncho en crêpe mousse ivoire plissé et gazar blanc brodé, Le noir et le blanc s’affrontent dans les diamants, et les perles se font couture. C’est la femme Roland toujours reconnaissable entre mille et sur la musique de « vivre pour vivre », elle s’épanouie sans jamais nous décevoir. Crêpe de satin rouille, qui vibre comme un tout jeune oiseau qui tremble et qui palpite, une cape en crêpe de mousse blanche rehaussée d’une cascade de pierres de cristal aux couleurs de l’Italie.

GIAMBATTISTA VALLI

Comme un bois couronnés d’un reste de verdure, feuillage jaunissant et gazon épars que maudissent les golfeurs. Derniers beaux jours qui annoncent le deuil de la nature, et qui convient à la douceur et plaît au regard de Valli, pour une farandole de saisons. C’est la balade de Valli qui joue sa symphonie de croches : noires et blanches.

SOCIETY ROOM 3

A l’image d’une série de « Drôle de Dames », empruntant les vêtements de leur époux, la féminité s’exprime, tout signe extérieur de distinction en avant, comme une façon subtile de vouloir toucher le sublime et le chic à la fois. Sur une musique de Joe Dassin et dans une ambiance Loulou, du haut de la Falaise Louvre, la mode, ce jeudi soir, vient de se retrouver pour s’embrasser à pleine « touche », et enfin revivre ces petits moments furtifs des présentations parisiennes qui nous manquaient finalement éperdument. Pour lire plus cliquez sur le titre…

VRAIS FAUX D’HERMÈS

Une peau de lion, style descente de lit, une gueule ouverte qui n’avale rien, des dents superbes qui ne mordent pas, du rouge au cœur, mais c’est seulement une bordure d’andrinople, une queue flasque, prétentieuse ramenée sur le flanc, il croit encore que pour casser les vitres il suffit d’y jeter des pierres, et son éloquence est à l’éloquence ce que Monsieur Marrant est à Marrant.

LE PETIT PORT DE L’ÂME

Il faut connaître Dinard pour trouver « Le Petit Port ». Comme Asclépios, fils d’Apollon et de Coroniset, qui a failli ne jamais connaître la vie, nous voguons le long du petit port de Dinard avec une vue sur Saint-Servan et la pointe de la Vicomté. Après deux mois de voyage en pensées de mirage, nous nous sommes posés lentement pour renaître sur le ventre du petit port. Avec un petit air de ces bistrots qui surfent sur la vague du « c’était mieux avant », remettant René Coty au goût du jour dans un décor Delicatessen où se retrouvent tous ces néo-bobos venant de Paris qui sont en demande de vrai.

YSL LA COLLECTION DU SCANDALE

Ce sont  les robes trapèzes de Courrèges mais aussi les silhouettes futuristes de Cardin qui bouleversent l’élégance et le New Look des années 1950. Mais le 29 janvier 1971, quatre-vingt tenues sèment l’agitation rue Spontini. À cette adresse, Yves Saint Laurent et Pierre Bergé avaient inauguré leur maison de couture dix ans plus tôt et cette année là, Yves Saint Laurent crée une collection Haute Couture inspirée de la Seconde Guerre mondiale et de l’Occupation allemande.

DES MOSCOUTAIRES FLEURDELISÉS !

Les Mousquetaires à ne pas confondre avec les Moscoutaires, ceux-là n’habitaient pas Moscou, mais au 26 rue de Charenton et ils avaient belle allure ces Mousquetaires Noirs. Aujourd’hui leur caserne est devenue l’hôpital du Quinze Vingts depuis le XVIIIe siècle. Ils fallaient les voir défiler avec leur veste rouge surpiquée d’argent sur laquelle ils revêtaient une sorte de cape bleu, frappée d’une croix fleurdelisée (ornée de fleurs de lys) en velours blanc, signe de leur appartenance à la maison du roi.

Cette cape, on l’appelait (une casaque), un terme qui fait illusion mais, qui fait surtout allusion à un peuple d’Asie centrale les Kazakhs, eux-mêmes cavaliers émérites. Aujourd’hui, le terme désigne la blouse du chirurgien, mais il s’entend aussi régulièrement dans les commentaires des courses hippiques.

LE SILENCE DE PARIS DANS L’APHASIE DU MONDE

N’avez-vous pas entendu que ces jours-ci le silence avait disparu, et que les oiseaux, au matin, ne chantaient plus. Je ne suis pas de ceux qui croient aux causeries le long des berges, mais le silence est quand même l’âme des choses. Il guérit des longues névroses, de la rancune et du regret. Nous parlons de ré-ouverture à la vie, mais finalement, nous retournons à la mort. Car, où est passé la lune, le soir, et ses rayons discrets qui frémissent dans les arbres moroses ? Où est le ciel étoilé en plein Paris que la pollution masque de sa lourde prairie noire qui survole la ville dans un silence sans fin ? Pour lire plus cliquez sur le titre…

CHASSEURS DE BÊTES

Rien de louable au fait qu’il soit en pyramide et cela simplement pour singer le Sphinx « déguisé » d’Égypte, des intellectuels au repos et devant le nombre de ceux-ci que j’ai souvent eu l’occasion de rencontrer dans les entreprises, je me posais toujours cette question : qui pouvait choisir ces intelligences « Ribéri-siennes » ? Choisies certainement par des Chasseurs de « bêtes » qui, eux aussi, pour la plupart sont des sources originelles d’intelligence mycosées et qui viennent sélectionner pour les entreprises leurs employés ! Chassant ainsi dans le vivier de ceux qu’ils connaissent le mieux, les bannetons d’imbéciles qui leur ressemblent le plus. Des bardaches adeptes du banal, mono-neuronal pour un métier qui existe depuis la nuit des temps, mais surtout depuis que les Arabes choisissaient les employés pour les fermes de coton pour le commerce triangulaire.

Choisir des imbéciles pour produire un cocktail digne de la société Française. Mais, « hush hush », ne le dites à personne car ces humains de contrefaçon, à la moindre remarque sur leur personne, vous black-listent dans une base secrète d’andouille de Guémené sur pattes et envoient des emails pour tenter de vous discréditer, au mépris des lois de ce pays. Une infinitésimale vengeance de vendeurs de rien à tête d’éponge qui conseillent après extinction des feux dans les sociétés, à la même heure où les techniciens de surface viennent faire eux un vrai travail. Pour lire plus cliquez sur le titre…

LA VESPA POUR VESPACHIENNE

La marque du Maître de Granville lance un scooter avec la marque Vespa ; une édition limitée comme une excuse pour vendre des accessoires assortis, dont un casque qui sera mis en vente au printemps 2021. La maison marchait déjà sur trois pattes avec la Grazia Chiuri, maintenant elle marchera en mono-cylindre et au mélange, pour une Dolce Vita, ancrée dans un esprit de cyber-thé.

Voici donc notre créatrice préférée qui lie la Vespa à sa ville, Rome, et à l’image d’Audrey Hepburn sur un scooter avec Gregory Peck dans le film « Roman Holiday » mieux connu en France sous le nom de « Vacances Romaines » de 1953. Cette Dolcé Vita lui a subitement donné l’idée d’une collaboration avec Vespa. Un instruit chez Dior qui lui aura passé sous le manteau une vieille cassette vidéo du film de Federico Fellini, qu’elle avait lu « Federico félonie ».

Avec sa silhouette fuselée en forme de « guêpe » d’où lui vient son nom, le célèbre deux-roues s’est écoulé depuis ses débuts à plus de 18 millions d’exemplaires, il est probable que la maison de l’avenue Montaigne ne fasse pas aussi bien.

LAPSUS CALAMI-TEUX

Quel titre exceptionnel : « ça baise et ce n’est pas fini »! Le Seigneur des Arnault, au vu du titre du journal dont il est le propriétaire, est certainement tombé à la renverse. Karl aurait dit :  » Il va y avoir de la mutation dans l’airrrrre et de la déportation dans les recoins obscurs du groupe ».

Qui est ce fort en thème ? Comme ces gens de mode, beaux comme des cloportes, un cerveau de poisson rouge, qui va se retrouver comme balayeur du désert de Gobi, pour un lapsus calami, mais surtout « calamiteux », un décérébré, qui après deux mois de confinement et de jeûne a vu sa plume dépassé par sa panse et …

« Ça baise et c’est pas fini », on peut garder ce leitmotiv pour la couture et ses dirigeants. Voici le plus grandiose échantillon de crétinismes illuminés qu’il fut possible de rencontrer, interdit à l’imagination la plus ardente. Grands prêtres de la boulimique bassesse, prophètes des concupiscences fétides, dénués de tout talent et coupe-jarrets ignares. Des cervelles qui pompent comme une éponge toutes les fibres de papier et tous les purins de toutes les fanges du groupe qui les emploie, en bref un aspirateur à stupidité. Pour lire plus cliquez sur le titre …

MÉTIERS D’ART MARCHÉ POUR L’EMPIRE

On n’est jamais trahi que par les chiens. « En France, on n’a pas de pétrole, mais on a des idées ». Quarante six ans après cette phrase, qui a fait le tour du monde, nous nous demandons encore si nos idées suffiront à nous sortir de la « crise Covid-19 ». Les étrangers, eux, en ont saisi l’intérêt ! Ils ont fait de la France leur réserve à idées, leur supermarché pour industriels en panne d’inspiration. Mais, c’est nous qui leur avons pourtant offert notre savoir-faire sur un plateau en implantant à l’étranger des filiales ainsi que de prestigieuses écoles, sans doute plus par orgueil que pour des raisons économiques, distillant ainsi notre «French touch»  à des étudiants avides de copier le savoir-faire Français.

Ces étrangers veulent maintenant croquer l’idée à la source ! Il est plus facile et plus rapide d’aller à la pêche à la nouveauté en envoyant leurs enfants pour envahir les écoles parisiennes, et ainsi, infiltrer le marché de l’industrie du textile, de l’aéronautique de la cristallerie et tant d’autres… La toute nouvelle cité de la Mode les accueille à bras ouverts au nom de l’échange culturel. Merci à « Pierre St Laurent » ; vingt fois sur le métier, remettez votre outrage. Pour lire plus cliquez sur le titre…

VOYAGE VERS LA LUMIÈRE

J’aime citer la plume Sergent Major de la « Gloire de mon père » de Marcel Pagnol et de ses Bartavelles. J’aime parler du « Château d’If » et du Comte de Monte-Cristo d’Alexandre Dumas. Je vénère le commandant Picard pour avoir lu sa bio et avoir suivi grâce à un pure, Emile Zola et un « J’accuse » qui reste dans les anales de la grande muette. J’aime René Char, toi qui sans hâte, me dépasse dans la mort et que j’ai contredit tellement de fois dans ma course effrénée de ma jeunesse.

Quand je marche sur les quais, je passe souvent à côté de l’hôtel de Sens qui me fait retomber dans le Paris du XIVe siècle, il me transporte dans un Paris depuis longtemps oublié. Savez-vous que Nostradamus y est venu dormir quelques nuits autour de 1556 ? Nul ne sait ce que ce célèbre Devin avait prévu pour cet hôtel lors de son passage. Cliquer sur le titre pour lire plus…

SCHEIBENBAUER LE LAC DES FRIPES

René Scheibenbauer, pour ceux qui ne parle pas la langue de Goethe, voici la traduction littérale : le bâtisseur de l’écriture, bref un écrivain ! Voilà donc, non pas un écrivain, mais un couturier « Germe à nique  » basé à Londres, qui utilise la qualité de thérapeute dans la pratique de son habillement ! Mais, en ce moment, à Londres, un vêtement thérapeutique ! Pourquoi pas ? Il paraîtrait que Nabilla au mot « Terra Pute » se serait esclaffée : « oui, ce sont les Venus crapuleuses qui exercent à la campagne ». Mais, comme dans son cas, l’océan n’a jamais vu la mer, je doute qu’elle ait déjà rencontré la sienne. Cliquer sur le titre pour lire plus …

QI D’HUITRE MAZOUTÉ !

La pire des décadences n’est point celle qui naît d’un excès de raffinement dans une élite, mais de la vulgarité et de la méchanceté de celle-ci. La vulgarité est partout et elle provient du ruisseau là où usuellement se tient les palabres des céphalo-abstinents. Elle nous submerge, et elle est activée par des travailleurs besogneux de la filouterie, qui pour survivre à leurs turpitudes, trouvent une satisfaction à détruire la vie des autres. Je peux imaginer, avec effroi, ces prévôts affublés en 1936 d’un uniforme avec un logo rouge et une croix noire, transformés en petit chef pour anéantir la balade des bonnes personnes, et les faire brûler dans le four des enfers, pour le grand malheur de tous.

Des voyous qui jettent Homère aux latrines, et compissant les tables de la Loi. Ces grands diseurs de billevesées arrivent comme des chiens cyniques pour activer leur pompe obscène et blasphématrice comme signe extérieur de faiblesse. Pour lire plus cliquer sur le titre…

UN BAT RESTAURANT

Avis à tous les fans de Bruce Wayne, alias Batman : voilà un restaurant dans Gotham-London qui va vous enchanter, et où vous pourrez venir au radar ! Une idée de génie pour réhabiliter la chauve-souris qui finalement n’était pas responsable du Corona, mais espérons que l’on pourra y trouver la bière du même nom.

L’ouverture est prévue pour ce printemps (enfin, espérons !) un restaurant au style Art Déco qui sera situé au cœur de la capitale Londham City. Au programme, un repas-spectacle, mais pour en savoir plus, contacter le Joker, il a des idées de folies. Les clients accéderont au restaurant par un escalier ascenseur comme dans la « BatCave ». Un bar chic dit le pingouin trônera avec une décoration iconique, certains disent qu’il aura la silhouette de Boris Johnson, et la batmaid celle de Thérésa Maybe. Pour la petite histoire, les ailes du héros, qui s’inspirent de la machine volante de Léonard de Vinci en forme d’ailes de chauve-souris, pourront être utilisées pour se rendre à la salle VIP.

SAINT LAURENT LATEX ÂNE

Voici le latex qui rentre dans la composition des vêtements de Saint-Laurent, après le Clubbing, voici la bourgeoise qui rentre au 41, rue Quincampoix pour s’accoquiner avec les échangistes politico-admiratifs gorgés de progestérone, et si la vie vous sourit, elle se moque peut-être !

Le sexe à « pile » pour les bimbos de la télé-réalité mélangés dans un cocktail ahurissant, du plastique pour riches bourgeoises en goguette cent pour cent non recyclage, un clin d’oeil aux nuits les plus sulfureuses de Paname des bas-fonds de la capitale. Venez au baron nous aurait dit T.Ardisson, et vous verrez que la créativité du designer n’a rien à voir avec sa façon de raisonner. Il a juste été faire un petit tour dans la fange qui mélange Yves Saint-Laurent autrefois et dont nous gardons sa nostalgie poétique , avec quelques croquis de l’enfer de l’académie du commun des mortels.

Voilà un second romantique, qui inspecte l’invisible, et écoute l’inouï afin de reprendre l’esprit des choses mortes, et des poètes de la nuit. Rompus au formes vieilles, couturier parmi les innocents. Les femmes l’ont vu comme s’il était Paul Verlaine, mais en réalité il travaille seulement à la haine du sublime.

COPERNI LE PRODROME DE MODE

Coperni, les deux français Arnaud Vaillant et Sébastien Meyer qui n’avaient déjà pas faire de miracle chez Courrèges, reprennent leur marque « Coperni » en pensant qu’ils vont toucher les étoiles, et nous apprendre que la terre tourne sur elle-même et que la lune est un satellite de celle-ci. Les jeunes sont ainsi. Ils pensent qu’ils sont venus au monde très jeune dans un monde très vieux.

FHCM PIRATAGE MARAND

« Une plateforme cherche à récupérer des données et envoie des emails signés de la Fédération de la Haute Couture et de la Mode. Il s’agit d’une initiative frauduleuse », nous informe la brillante FHCM. Veillez à bien faire attention à l’entité de vos emails envoyés (en réalité plutôt reçus), nous donnant au passage un petit cours d’Outlook. Voilà des incultes qui voudraient subtiliser les contacts et les adresses des bimbos et des attachées de peste qui régissent les défilés de la mode de Paris. Qui pourrait vouloir de ce gloubi-boulga de la Fashion Week  ?

Voici les natures moyennes avec son général en chef, la Marand mania qui nous fait tellement rire, ce discriminateur aux ordres des grandes marques, marquant sa différence par les courbettes sans cesse répétées qu’il leur adresse. Ce transfuge de l’école de la philosophie de la vie, son seul talent, (mais pas sans Talent Grec), et (écho no mixte) se voit attaquer par sa base, mais numérique.

LA BANANE DE JACQUES MUSE

Voici la banane qui défraie la chronique, et dont Jacquemus s’est immédiatement emparé dans le but de faire le buzz. Jacquemus est comme un buvard ! Il ne travaille qu’en sous-main, singeant avec peu d’habileté Maurizio Cattelan qu’il avait pris pour Maurizio Galante, couturier de son état, alors que ce n’était que cet artiste espagnol provocateur qui, lui-même, copie les  » ready-mades  » de Marcel Duchamp.

Après « balance ton porc » et « balance ton quoi », voilà « balance ta banane » sur les réseaux sociaux. Elle est au centre de l’attention médiatique des arts et de la culture. Pour un peu on pourrait penser que nous sommes au bord de « l’Hérault in ».

GUO PEI LA VALLÉE DU SI CHIANT

Comme un oiseau d’ébène qui induit la triste couleur de l’imagination d’un sourire d’une chinoise devant les « Délices de Tokyo », voici le sévère décorum de la déconvenue, la vision lugubre du corbeau errant loin du rivage de « l’An Pire » du Milieu… celui de la nuit. Une collection impériale au rivage plutonien, dans la prison de la cité du même nom. Guo Pei nous donne la Chine dans sa sinistre rétro-vision d’un monde si isolé et si agoraphobe ; avec ce message que rien n’est permanent, rien ne meurt vraiment, tout change… essayant ainsi de se souvenir de la maxime de Lavoisier.

Est-il possible de transposer un sujet aussi sensible que la vie et la mort dans une collection Haute Couture ? Une phrase de l’académie du commun des mortels ! Une piste de sable mouvant était décorée d’un portail macabre par son imaginaire lugubre. « Quand j’étais enfant, je pensais souvent à la mort, dit la couturière par l’intermédiaire d’un traducteur. A ce moment là, j’ai aussi pensé à la litote de Pierre Bergé qui disait :  » La Haute Couture est morte ». Pour cette collection, du tissu d’ananas de chanvre, un matériau précieux provenant des Philippines et qui existe depuis plus de 400 ans a été utilisé….