VERSACE DANS LE DAMIER VUITTON

Du changement qui s’annonce chez Versace, car la société mère Capri Holdings est en passe d’être rachetée par Tapestry Holding, une multinationale américaine de mode et de luxe basée à New York, qui est en autre le propriétaire de Coach, Kate Spade et Stuart Weitzman. Pour lire plus cliquer ici

GUCCI IS BACK

Sabato de Sarno a voulu remettre Gucci dans la rue, et au sens propre aussi. Pour ses débuts, le créateur a respecté l’héritage de la maison mais a également tracé son propre chemin, montrant des looks aux longues jambes que les jeunes stars d’aujourd’hui porteraient dans la rue. Fini le Michele qui habillait en nada, bienvenue dans le luxe à l’italienne. Pour lire plus cliquer ici

PAOLO CARZANA D’ORIGINE LÉTALE

Paolo habille les femmes comme des garçons et les hommes comme des pieds. Alors que l’on nous raconte que la collection aurait dû être sur la féminité, les vêtements, qui sont sans intérêt, sont peut-être écolo ? Expérimentation du laid mais surtout du faux, la collection Paolo Carzana a une inélégance distincte d’un chiffonnement de vêtements pour une philosophie couture qui se rapproche du néant de la créativité et de Bernard Henry Levy, ainsi que d’une expertise brouillon du Marrant. Pour lire plus cliquer ici

FENDI 2024

Dans un spectacle hypnotique, il était difficile de détacher son regard, tant il est plein de clameurs et d’agitations, nous sommes encore sur  l’onde de la douceur à l’italienne où le luxe apparait dans toute sa splendeur.  Après tout, quand viendra l’heure sublime et fatale pour certains en plein déchaînement des aveugles de la couture sans limite sous ces flots, l’admirable rage brutale du beau apparaitra, dans un tourbillon violant, que seules les bimbos, avec cet esprit peu meublé, seront englouties par leur ignorance. Pour lire plus cliquer ici

EPIDON VÉGÉTARIEN

Au moment de réserver, la tentation était bien grande de demander :  » Est-ce que tu baises Pascal ?  » dans la rue où le philosophe habitait autrefois. On s’est pourtant retenu pour ne pas jouer avec le feu. Dans les restaurants parisiens, il ne faut plus déconner à cause de la base de données qui blackliste les plus mauvais clients comme les influenceurs. Mais, le concept de ce restaurant bio, à la décoration épurée tout en étant moderne, nous donne une ambiance confortable au bout de la rue Casimir de La Vigne. Adieu le gloubi-boulga et bonjour la vigne. Pour lire plus cliquer ici

LA GÉRONTOCRATIE DE LA MODE

Le seigneur des Arnault 74, l’homme de Tolède 75, le prince de Venise 87, D. Grumler 86 ans, un panel de dirigeants qui représente la gérontocratie de la mode. D’ailleurs, le mot gérontocratie s’est forgé au XIXe siècle à partir du grec géron, vieillard, et cratos, force ou pouvoir, qui désigne usuellement une gouvernance exercée par des vieillards. La France se signale par un secteur de la mode plus âgé et plus figé que dans les autres secteurs industriels, et aussi démocrate que l’empire du milieu. Pour lire plus cliquer ici

KWK BY KAY KWOK

Oyez, oyez, braves gens, damoiselles et damoiseaux, troubadours du fil et « catin duchesse », faites rugir les trompettes de Jéricho et dormez en paix car la Fashion Week de Londres commence par un trip en technicolor façon LSD.  Sauvez Kay qui nous plonge dans un océan de Coréens en mouvement mâtiné cochon chinois, pour quelques photos qui ont conquis la planète mode, et dont les attachées de « peste » ne tarissent pas d’éloge sur cette jeune prodige sortie de Polytechnique de Hong Kong. Pour lire plus cliquer ici

LE ROI DES CARTES

Quand vous passez rue de la Verrerie, on imagine les meilleurs faiseurs de flacons de parfum et verres en cristal, mais il n’en est rien. Si on y regarde un peu plus près, ils sont là tous deux, habillés à la mode du XIVe siècle. Lui, c’est Charles VI et elle, c’est Isabeau de Bavière, son épouse. Ces deux promeneurs anonymes donnèrent à un émailleur habile, nommé Jacquemin Gringoneur, en 1395, l’idée de peindre le couple sur des petits rectangles d’email et cela au 28 de la rue de la Verrerie. Ce lieu abrite, depuis le XI° siècle, la corporation des peintres sur verre et celle des émailleurs. Si durant l’époque Carolingienne, la mode des émaux sur les bijoux et pièces d’apparat se développe, c’est au XIIème siècle que la France, et spécifiquement la ville de Limoges, qui s’impose comme un centre névralgique de cet art. Pour lire plus cliquer ici

DEMI-MONDAINES RETOUR EN GRACE

Il faut bien réhabiliter la « du Barry », et voilà donc un film moyen pour le faire, mais c’est la tendance du moment : c’est le retour en grâce des demi-mondaines, et de leur maquereau de mari, afin d’imposer l’idée que les courtisanes, de cette époque, étaient aussi des femmes de goût, au même titre que nos influenceuses dans le monde de la mode et du luxe d’aujourd’hui. Pour lire plus cliquer ici

LE COURRIER DES LECTEURS SEPT 2023

Vous êtes, Monsieur, un Ouellebecq de la fange, un histrion exsangue de la poésie.

Sydnier T

Réponse du courrier des lecteurs de Canal-Luxe.

Monsieur,

Quand on a épuisé la poésie du lait et la politique du dégoûtant comme vous et quand on s’encanaille par un talent moyen à trifouiller la nature de la crapulerie humaine, pour enfin rentrer dans le Guinness des Records de l’inspection des égouts sociaux, et tout cela sans botte de vidangeur, j’en conviens, c’est un véritable tour de force. Pour lire plus cliquer ici

QUAND J. MOUCLIER PARLAIT DE MARC BOHAN

C’était la pureté de l’enfance, ainsi que le surréalisme de la jeunesse, et son visage si doux évoquait la renaissance et la simplicité en même temps ; un homme dont le charme impose sa loi. Pour Dior, il va imaginer des collections à la simplicité sophistiquée dans une discrète insolence.

Un cristal de transparence qui donne à ses collections la finesse et la douceur sublime que l’on peut reconnaitre instantanément comme chez tous les grands couturiers. Il aimait la sophistication et la complexité technique, tel était le fil conducteur de son travail, c’est maintenant que je comprends ce que Bohan me disait alors : « le cœur le dit mais les oreilles des autres restent sans écoute ». Pour lire plus cliquer ici

AVANT LES COLLECTIONS

L’écriture est comme une navigation en solitaire, et le romantisme au travers de ma plume avait la liquidité des tempêtes et des passions. Elle affluait comme un fleuve hostile vers la mer déchaînée, s’épanchait sur ma solitude et pleurait mes illusions perdues. Je sanglotais sur le mal de mon siècle, mais le temps a frelaté la passion, et celle-ci coule aujourd’hui sur les joues des cœurs d’artichaut de supermarchés, que j’appelle souvent bimbos, les « larmoie-menteuses » de notre temps. Pour lire plus cliquer ici

LA MODE UN CONTE DE FAIT

Personne ne vous dira maintenant que la maison « Jacques Muse » est une supercherie ! Car quand la profession se trompe sur un mignon, elle ne revient jamais sur une idée qu’elle a elle-même forgée à grand coup de réflexions de benêt. Le K par K Simon Porte et fenêtre sera donc le plus grand tour de passe passe du monde de la codycross, un génie de la création sans génie et sans qualité, non plus, décryptage d’une manipulation d’un infatigable barbouilleur. Pour lire plus cliquer ici

NOUS L’HORIZON RESTERONS SEUL

Depuis vingt ans Jean-François Spricigo élabore un langage artistique d’une rare puissance, mêlant différentes écritures photographiques souvent nourries par le dialogue avec l’écriture, les sons, la vidéo ou la mise en scène. Au fondement de cette œuvre radicale, le rapport intense à la nature qui anime l’artiste, réfutant toute hiérarchie entre les formes de vie : « Humblement, j’observe la nature et la reconnais comme seule norme tangible face aux mutations de nos sociétés ». Comme seul lieu, également, de réconciliation possible entre l’imaginaire et le réel. Pour lire plus cliquer ici

BALENCIAGA BANK & OLUFSEN

Difficile de trouver une pucelle dans le défilé de Balenciaga, et pourtant la robe de Jeanne d’Arc en métal, à la fin de la collection, a fait sensation. Un bouclier comme une armure, pour le Georgien, pour se protéger de la guerre dans les « Bombasses », Bimbos obligent.

Trompe-l’œil stupéfiant, où jeans, vestes en tweed et manteaux de fourrure haute couture sont présentés sous les yeux réprobateurs de l’association des pétasses qui ne veulent plus de Fourriiiiiire, me dit la vieille Israélienne, à mes côtés, botoxée comme une usine Yoplait et tirée comme un canon de 75. Pour lire plus cliquer ici

DU BRUT DANS LA MAISON

Obtenir une table chez « Brut, Maison de Cuisine » relève de l’exploit, et après trois essais, à moins de bosser chez SFR ou dans un call center pour une réservation, nous finissons pas atteindre notre but. On se pointe à 19 heure précise avec ma Bimbo au bras sans même avoir explosé mon forfait 5G.

C’est à l’autre bout du monde, pour un bobo Parisien, à Blois, pas brut du tout mais très fin au contraire, et cela est sans conteste le meilleur restaurant du monde de la bourgeoisie Blésoise. Mais ici, ce n’est pas la brute dans la maison, car visiblement en cuisine, c’est elle qui commande et probablement à la maison aussi ! Pour lire plus cliquer ici

SOUS LES BOTS DES ÉPHÈBES

Les jeunes générations sont des pères conscrits, dont la bassesse est finalement leur nourriture. Professeurs de brevet de moralité, ils sont la finesse de la flagornerie et de la supercherie, à l’image de ces programmes sur internet, des robots appelé « bots » qui vous demandent si vous êtes humain : « trop robot pour être vrai « . Ces jeunes infectent nos vies à continuer leur besogne de malignité et de perversion. Ils sont des bêtes féroces accros à l’argent et feraient n’importe quoi pour en avoir des Marmontel ennemis de Jean-Jacques Rousseau, qui n’ont que pour but, de ne pas changer le monde, mais seulement changer de voiture pour une électrique de circonstance. Pour lire plus cliquer ici

ELLES ROULENT DES MECANIQUES

En pleine essor, les montres de luxe roulent des mécaniques, mais elles font bondir les vols à l’arraché, car l’an dernier, le nombre de délits a enregistré une hausse spectaculaire de 60 %. C’est un fléau qui préoccupe les marques de luxe comme (Rolex, Patek Philippe, Audemars Piguet), car la pénurie vient aussi alimenter un marché noir de seconde main, faisant ainsi exploser les prix, et attirant les mafias sur la contre-façon. Pour lire plus cliquer ici

ARNAULT LA TENTATION DE L’EMPRISE

Arnault ou la tentation de l’empire, ou comment acheter maintenant et payer à jamais. Plus que la faim, c’est le désespoir de la défaite. Pour lui, le pire de tout, c’est de sentir que personne, mais absolument personne, en ce monde, ne s’intéresse à lui. Ainsi, le seigneur, qui a soif de reconnaissance, empile le luxe comme Héraclès et le mythe de Prométhée, libre de se réinventer en permanence.

Un message à son grand-père, pour un coup de poker, afin de pouvoir construire sa propre histoire. La tentation de l’empereur ou la tension de l’empire est tellement forte, chez lui, qu’il continue d’absorber tout le luxe pour devenir comme Louis XIV le Roi et surtout le garant du luxe à la française dans le monde entier, enfin son luxe ! Pour lire plus cliquer ici

MAMANOUCHI LE BELGEOIS GENTILHOMME

Louis-Gabriel Nouchi, un nom à coucher dehors ou une pièce de Molière, voilà donc le plus Freddie Mercury des Belges, ancien médecin et avocat en même temps, qui finit par trouver sa voie à la Cambre. Un Belge de plus qui va nous jouer la Brabançonne. Il remporte le prix de l’ANDAM édition 2023 et reçoit ainsi 300 000 euros et une année de coaching de la part de Bellini : un cocktail à base de prosecco ou de champagne, c’est tout dire !  Prix remis lors d’un pince fesse dans les jardins du « Palais-Loyal », étonnant non ? Pour lire plus cliquer ici

A MES LECTRICES

Oh fidèles lectrices ! Vous vous appelez Dominique, Chantal, Corinne, Patricia, Béatrice… et les autres, je vous écris ce petit mot pour vous remercier des compliments que vous avez la gentillesse de me laisser chaque matin pour m’encourager. Souvent, je réalise un galop pour rire quand mille mots pleins de vie viennent me saisir, et là, commence une chanson et une histoire étonnante comme une tempête de lilas sur les pyramides d’un écrit qui décrit l’écho de la douceur d’une flamme persistante en mon cœur.

J’ai souvent senti que j’étais partagé entre ces femmes aux chevelures impeccablement coiffées, pour un espoir insensé, une sorte de fenêtre au fond d’une mine d’où jaillit une source de lumière d’un rideau noir qui s’évanouit.Pour lire plus cliquer ici

JACQUEMUS LE NÉANT DE PLASTIQUE

Huit tonnes de plastique sur la Côte d’Azur pour un couturier toujours en recherche de buzz … puisqu’il ne peut pas s’imposer par la création de robes. Ce lundi, le « coutumier » du concept a fièrement publié sur son compte Instagram une vidéo pour présenter sa nouvelle réalisation : un énorme sac gonflable, installé au bord de la plage de Villefranche-sur-Mer. Pour lire plus cliquer ici

COURRIER DES LECTEURS

Vous n’êtes ni un penseur ni un écrivain. Votre style est absolument factice, manquant de véritable haleine, empruntant de fausse chaleur à tout un système de phrases exclamatives.

Thierry de La Fléchère

Réponse du courrier des lecteurs.

Cher Monsieur, vous êtes lourd, bavard, et pour les idées de moralité, vous avez la même profondeur de jugement que les concierges et les femmes entretenues. Quelle femme a pu s’amouracher ainsi de cette latrine ! Vous êtes bien la preuve que les hommes de ce siècle se prennent pour des poètes mais depuis Dominique Strauss, ils ne sont que des « Tire-lyres ».Pour lire plus cliquer ici

RETOUR A BABYLON 2024

Me voici de retour après une villégiature assez mouvementée, et j’ouvre aujourd’hui mes 1 280 emails… Compte tenu de mon âge avancé, je découvre tous ces spams que l’on m’adresse pour les assurances vieillesse et les couches pour incontinent, en soi tout un programme…  Je sais que, de temps en temps pour certains, je fais de la diarrhée verbale, mais quand même ! Ainsi que des publicités pour le poêle à bois, « et la caravane passe ».

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LE CHATEAU DES GROTTEAUX

C’était l’heure exquise et matinale, quand le soleil rougit dans la brume chaude de l’été. Je suivais du regard les vignes au travers des cyprès chauves de Louisiane, une blonde lumière arrosait la nature et on aurait pu penser qu’il neige de l’or, quand soudain un nuage en flocon de laine nage dans le ciel bleu azur de la Touraine.

Nous passons le grand portail rouge carmin, et le chemin en fil d’Ariane nous mène à la bâtisse baignée de lumière. Voici donc le Château de Guillaume Ribier, maître des lieux en son temps et grand collectionneur de livres, ayant à l’époque la plus grande bibliothèque d’Europe . Nous sommes accueillis par le nouveau propriétaire, enjoué de sa grande gentillesse.

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WANG NECRO PEAU LISSE

À chacune de ses apparitions, la Wang surprend par son éternelle jeunesse. La créatrice de robes de mariée vient ainsi de fêter ses 74 ans, alors qu’elle en paraît au moins 40 de moins. Elle n’affiche aucune ride au « conteur » pour une silhouette toujours aussi élancée, et son secret de beauté déconcertant : boire des cocktails à base de vodka, (nasdrovie), l’adepte de la fontaine de jouvence viendrait-elle de « Vladivo » stock de robes de marié  ? Pour lire plus cliquer ici

SOLAR AIRSHIP ONE

Le ciel a-t-il renoncé à sa féerie et à son palabre subtil entre l’homme et ses nuages ? Nous fait-il encore rêver ? nous qui sommes de plus en plus le nez dans nos écrans ? Voici donc un projet pour rêver, mais aussi pour donner du bonheur, et je saisis mon calame pour vous décrire ce voyage comme celui de St-Ex., en son temps, un vol de nuit à travers les nuages en silence. Nous avançons et embrasserons les nuages face aux lames des cumulonimbus qui nous barrent la route, puis, nous remontons de la nuit, livré à notre solitude, et éloigné de la destruction du monde derrière une cloison douce et cotonneuse comme une marche prospère pour être les passants du sans-souci loin des turpitudes de ce monde. Pour lire plus cliquer ici

INFLUENCEURS COMME DES SHEIN

Les influenceurs, cette race d’homme et de femme à l’habit triste quand ils sont sans filtre avec leur torve de faux Gréco, décoction de Pierre Bergé macéré dans le foutre rance de Lizier Grumler, sorte d’oscillation entre l’Eucharistie et le lupanar. Ces bluffeurs obscènes conseilleurs, qui poussent dans les « verges » de la maison Dubaï, passent pour des intelligences de méninge neuve mais toute artificielle, bref l’A.I (Artificial intelligence) dans toute sa splendeur, pas inintelligents, mais sans intelligence. Pour lire plus cliquer ici

LE SAVIEZ-VOUS ?

A première vue, cette expression est limpide : « sauter du coq à l’âne », c’est passer d’une idée à une autre, sans cohérence, deux animaux de la ferme qui n’ont rien en commun. Au XIV siècle, l’expression était un peu différente, on disait « saillir du coq à l’asne », et  malgré le beau tempérament de celui-ci, il n’allait tout de même pas séduire un baudet. En fait, cet « asne » là serait le mot ancien pour cane… Or parfois, le roi de la basse-cour se trompait de cible et présentait ses hommages à la femme du canard plutôt qu’aux sémillantes poulettes qui l’attendaient dans le poulailler. Pour lire plus cliquer ici

MORT DE LA HAUTE COUCHURE

Charles de « Vile-brode-rien », imperméable au génie, vient de mettre un point définitif au monde de la Haute Couture avec ses robes en mousseline laissées à l’abandon, sans ourlet ni finition, sur le corps d’une jouvencelle qui porterait une serpillière mal dégrossie. Voilà donc la clôture de la Fashion Week Haute Couture de Paris, qui s’arrête sur un bilan bien pauvre où seules quelques maisons ont présenté de vraies robes de la Haute d’Antan et dans les règles de l’art, si ces règles existent encore – véritablement à en douter –  car la plupart se contente de quelques robes de prêt-à-porter serties de Sequin pour Bimbos vivant à Super-Mumbaï. Pour lire plus cliquer ici

CHANEL QUAI DES ORS FAIBLES

La flânerie d’une promenade sur les quais de Seine, quel bonheur ! Le corps se relâche, l’esprit s’évade et le ronronnement des bateaux-mouches se mélange avec le cliquetis des flots sur le rebord des quais. Des amoureux s’enlacent et se jurent l’éternité, promesse que la nuit engloutira certainement. Mais, comment concevoir une œuvre dans un monde inconcevable ? Cela paraît insurmontable et l’on se contenterait bien de faire un cake à la banane au Meurice avec le baron Hans Gunther Von Dincklage, et j’en suis sûr, que le monde ne se porterait pas plus mal. Pour lire plus cliquer ici

DE MARISA A CARDE B

Voici donc un vrai métaphoriseur de couture ampoulée qui arrive comme un « Shein » cynique pour activer sa lance en aiguille obscène et blasphématrice comme signe extérieur de faiblesse. Avorton qui se soulage au pied du K2, pour noyer un ange dans la boue lubrique des bimbos de supermarchés.

Mais, que diable ! Laissez-vous porter par Catherine de Médicis et Marisa Berenson ! Il y a là une assez large marge pour vous exprimer. Ne pensez-vous pas ? Et, sortez des bas-fonds des fossés de Kélus. Pour lire plus cliquer ici

DIOR LE SEPTIEME SOT

Lorsque que la maison du Maître de Granville ouvrit le septième sceau, il se fit dans le ciel de coton un silence ex nihilo pour qu’apparaisse la grande faucheuse. Une bimbo russe, ex-fan de Valentin Yudashkin et inconsolable après sa mort, Natalya Vachekiria a voulu assister au défilé de la Chuiri, car elle a entendu par « jouit » dire qu’elle était une fervente féministe. A la fin on lui a demandé qu’en avez vous pensé ? « Après cette prestation, je renonce à Lesbos, dit-elle, et j’accueille les satires. Heureuse époque de Valentin. » Pour lire plus cliquer ici

ALAÏA UN PONT TROP LOIN

Le soleil, à notre arrivée, blanchissait la terre comme si un cœur de « ténèbres » lumineux, avait dit à un adepte du Taoïsme : soyez heureux. Sur le pont des arts ? non certainement pas ! C’était la passerelle Léopold-Sédar-Senghor, anciennement passerelle Solférino. Les ponts sont devenus le point central de la fashion cette saison pour les créateurs de mode. Après Louis Vuitton, qui a présenté un défilé grandeur nature sur le prestigieux Pont Neuf, c’est au tour de Pieter Mulier pour Alaïa de présenter c’est le « pont pont ». Pour lire plus cliquer ici

FASHION WEEK TRANS PONDEUR

Comme un défi aux règles de la Paris Fashion Week, Jacquemus a choisi la semaine entre les défilés homme et ceux de la haute couture pour présenter sa collection, le 26 juin, hors calendrier, dans le très extravagant cadre du bassin du château de Versailles créé par Lenôtre, et pas le sien.

Un « coup » médiatique réussi, mais aussi et surtout un affront aux règles qui régissent les défilés parisiens, dont la Fédération de la haute couture et de la mode est supposée être le gérant, mais aussi le garant. Pour lire plus cliquer ici

L’OR NOIR DE NAPLES

Il fait la taille d’un terrain de foot le fameux yacht de Bernard, et il s’est fait recaler, comme lui, à Polytechnique, en son temps, par la capitainerie. Moi, j’appelle cela être mené en bateau. Bloqué dans la baie de Naples, l’homme de Tolède, en bon conseiller, lui aurait dit : « venez à Tolède pour vous parquer, il y a la mer de sable » ! Voici donc la petite musique du « Symphony », 101 mètres de long et qui, en 1 mois, a consommé 470 000 litres de diesel. Pauvre Bernard, on lui avait déjà supprimé son avion privé, maintenant, c’est son yacht. A quoi sert véritablement d’être plus riche que riche et ne pas pouvoir finir ses vacances avec Paul Desmarais, un buvard qui ne travaille qu’en sous-main. Pour lire plus cliquer ici

LES CAMELOTS DU PONT NEUF

Au début du XIIe siècle, le verbe « racoler » signifiait donner l’accolade. Ce sens fut oublié et ce n’est que vers 1750 que le terme est réapparu sur le Pont-Neuf avec une nouvelle signification ; celle d’enrôlement par contrainte ou par fourberie pour inciter les gens à aller peupler les colonies.

D’ailleurs, sur le Pont-Neuf, côté Rive Gauche, un petit château abritait une pompe à eau surmontée d’un carillon animé par la force hydraulique. Dès 1610, une cloche en bronze frappait les heures, on l’appelait la Samaritaine parce que l’ensemble était surmonté de figures en bronze doré, représentant le Christ demandant à boire à une Samaritaine. Pour lire plus cliquer ici

SAINT SERNAIN LA FLAMME KUKUCHE

On aurait pu dire à poil laineux, mais dans le cas de de Saint Sernain, c’était plutôt à poil tout court. Eureka ! « j’ai trouvé » que je traduit pour les Bimbos aussi « cône » q’une ficelle de string. Et bien, circulez, il n’y a rien à voir dans la cour du Musée des Archives Nationales, et pourtant, il y a tellement à lire. Quand j’écris, je pèse mes mots, mais quand je vois cela les mots me pèsent. Voici donc le couturier plat, par excellence, qui juge la beauté au même titre qu’un morpion tombé par hasard dans l’Olympe jugerait de la beauté du cul d’une déesse. Pour lire plus cliquer ici

JACQUEMUS LES FOURBERIES D’ESCARPIN

A défaut de la guillotine, un tutu en tulle de polyester pour la nouvelle Reine de France, la Gigi, cet ennui du genre humain, qui ne donnera même pas à la plèbe une brioche ou un macaron. Voici les femmes aristocratiques de notre temps, les Marie-Trottinettes de Versailles qui viennent contempler le couturier des couturiers, celui qui ne sait ni coudre ni dessiner et qui est pénétré de la noble envie de nous instruire.Pour lire plus cliquer ici

THE FASHION ARMAGEDDON

Voici donc l’écologie et le recyclage de la Fashion en mode mensonge à haut pouvoir de nuisance ! Cela ne vous aura pas échappé que le rappeur, qui portait une tenue provenant de la toile de fond d’une présentation de « Roustintin », qui joue dans « Objectif Nul », et qui, en son temps, avait hurlé son amour pour l’écologie, était un « con cerner », sorte d’état de siège espérant une coloscopie. Pour lire plus cliquer ici

PHARRELL ET RIEN D’AUTRE

Voici donc la guerre du haut, celle de la foudre, non pas celle du bas qui provoque toujours la lapidation. En interne, suite à la prestation de Pharrell Williams, qui s’attribue toutes les marques du groupe, il est présent partout et surtout chez Kenzo et Loewe voulant signifier que la Superstar de LVMH maintenant, c’est lui. En venant également prendre sur le bastion de Nicolas Ghesquière, le petit « Very Happy » arrive pour mettre le groupe de luxe à « sac ». Pour Vuitton, finalement c’est de bon aloi. Pour lire plus cliquer ici

DIOR KIM

La promesse de la meilleure couture s’en alla rejoindre au ciel le cimetière des promesses qui s’étend à perte de vue. Voici donc le mythe d’Hadès, Dieu du monde souterrain et des Enfers, souverain des morts. Il est parfois appelé le Riche ou l’Invisible tout à fait convenant pour Kim et le Maître de Granville. Dior, qui, finalement, nous offre une sortie de mannequins des mondes de l’obscurité, et isolés de tous. Kim Jones sait pourtant faire preuve de sagesse dans sa couture. Il n’est ni maléfique ni injuste. Sa mission consiste à protéger les encore vivants du regard des bimbos et d’interdire toute interaction entre ces deux mondes, mais le Pharrell n’est pas loin pour intriguer, et venir ternir avec ses idées farfelues la couture du petit homme d’Hammersmith. Pour lire plus cliquer ici

GIVENCHY CHICAGO FIRE

Williams, avec un nom d’une équipe de Formule 1, avait cherché à intégrer l’école de design de la Parsons School de New York, mais comme il n’était pas une voiture de course, il n’a pas été retenu. Alors, il a été embauché comme responsable de production d’une marque de vêtements ; une vraie expertise pour entrer chez Givenchy !!!

Voilà encore un couturier autodidacte qui, lui au moins, l’assume, ce qui n’est pas le cas de certains comme les Janus et Rouston de pacotille. L’homme de Chicago, crée la couture comme un va-et-vient entre les cultures des banlieues, et le Woman’s Building  de  l’Illinois. Pour lire plus cliquer ici

PHARRELL LE PRINCE WILLIAMS

Promenez votre carcasse du côté du Pont Neuf pour une assiette de Pâte-à-gonie d’un couturier, qui avait acquis un certain train de vie sur une toile plastique sur le plus vieux pont de Paris. Dans un espace plus grand que de raison, 1200 invitées flottent sur La Seine. Voilà une ambiance bien différente de celui du show de Valentino dans son usine. Après l’usine, ici c’est l’abattoir pour « Mirette du Mans » des jeux olympiques pour chanceux. Le God qui appelle les chanteurs d’un succès d’un homme du Néant-katal plutôt que fils de pharaon comme il aime à se faire appeler. Pour lire plus cliquer ici

PARIS FASHION WEEK HOMME

Si vous avez envie d’en mettre plein les mirettes à vos amies journalistes de la mode, les instruire aux boutiques pas secrètes mais discrètes, et ainsi casser la routine des achats de produits de marques, sans création, par une petite boutique de l’agence F141 managée par Hector Sudry Le Dû dont l’adresse s’échange sous le manteau, car « hush-hush », suivant le dicton parisien, ne donnez pas les bonnes adresses de peur d’être dérangé par des clients plus bonobos que bobos. Pour lire plus cliquer ici

VALENTINO LA JOURNÉE DE LA JUPE

Porter une jupe quand on est un homme ! Est-ce un acte provocateur ou une simple question de confort, de liberté ou encore de séduction ? Après tout, c’est vrai que les femmes peuvent mettre un costume cravate sans que cela ne choque personne ! De plus, les écossais portent des jupes, ainsi que les  romains et les Egyptiens dans l’antiquité. Pour lire plus cliquer ici

FENDI SALOPETTES ET BIMBOS

Pas de nuisette noire pour nuits blanches chez Fendi, et dans le pays de Benito, on découvre des ouvriers perdus dans les méandres de la tenue de travail… Certes, ma conception de l’homme date plus du Néandertal que de l’Homo sapiens et, par conséquent, celui qui m’est présenté, n’a aucune de mes valeurs et de mes références. Mais, faut-il vraiment choisir et vouloir à tout prix nous faire boire dans un godillot Caterpillar d’un mignon de Henri III de mauvaise vie ou d’une Païva, au masculin, et ne pas se plaindre ? Pour lire plus cliquer ici

INTELLIGENCE ARTIFICE CIEL !

Si l’intelligence artificielle attire autant les convoitises, c’est tout particulièrement en raison de sa possible intégration dans un très grand nombre de secteurs. L’Intelligence Artificielle (AI) signe l’un des plus importants changements technologiques de nos sociétés ; sorte de nouvelle révolution industrielle après la machine à vapeur et le Web. Nous retrouvons l’AI dans déjà bien des domaines de la vie quotidienne avec notamment les chatbots sur les sites Internet et les assistants vocaux embarqués dans nos smartphones. Pour lire plus cliquer ici

AVIS SUR TOUT ET SURTOUT UN AVIS

L’autosatisfaction sur une page virtuelle gagne à être considérée comme le lieu privilégié de l’élaboration d’une image de soi, et de ce fait, comme l’expression d’un positionnement dans une communauté plus virtuelle maintenant autre chose. LinkedIn, Twitter et Facebook y participent grandement, et l’exemple de ces discours autocentrés sur une tradition du devenir, en tant qu’expert du luxe, mais surtout professionnel du rien. Pour lire plus cliquer ici

LE SEIGNEUR CHERCHE SON PALAIS

L’hôtel particulier de l’ex-président Ivoirien Houphouët-Boigny a discrètement été mis en vente au prix de 150 millions d’euros, et le seigneur des Arnault ainsi que Xavier Miel, son gendre si « Free » de ses anciens « Sexshops », auraient déjà visité les lieux. C’est une grosse maison bourgeoise en plein Paris, construite par l’architecte Alexandre-Théodore Brongniart, et située au n°11 de la rue Masseran, dans le 7e arrondissement de Paris. Elle constitue l’une des nombreuses constructions édifiées par l’architecte dans le quartier des Invalides. Pour lire plus cliquer ici

SETCHU UN JAPONAIS A PARIS

Ce sont des petits riens lesquels mis bout à bout, que des petits riens, qui ne valent pas grand chose, longtemps on crut qu’il deviendrait bien plus que ça ces petits riens, mais ils deviennent tout simplement la vie de tous les jours et surtout un grand ensemble qui rassure le Seigneur des Arnault.

Sera-t-il le successeur de Kenzo Yamamoto ou d’Issey Miyake ? Aux commandes de son label « Setchu », qui veut dire en japonais (alimentaire), Satoshi Kuwata vient de recevoir le prix LVMH 2023 et la remise de la fameuse « étoile du Kremlin » pour son vestiaire modulable, novateur et fonctionnel, paraît-il ? Pour lire plus cliquer ici

LA VICTOIRE DE SABOTAGE

C’est la victoire de Castellane, qui vogue sur les eaux du lac de Côme, ne pensant pas un instant que l’endroit a vu bien des naufrages ! Il y avait dans cette jouvencelle « Sexe à Jenner » de la noblesse provençale, mais seulement celle d’une « Jacques Muse ». Par ses nouveaux dessins, qu’elle fait réaliser par les autres, ces bijoux sont faits pour les hanches d’Antiope, fille d’Arès et sœur de Mélanippe, « qui elle n’est pas du prêt-à-porter » comme aurait dit Pascal Marrand. Il est vrai que la critique est Thésée, mais l’art est d’Hippolyte. Pour lire plus cliquer ici

SALVADIOR DÉLIT

D’abord les jupes, maintenant les peintures : Dior fait face à de nouvelles accusations de copyrights en Chine. Après le récent scandale du plagiat des jupes traditionnelles chinoises à tête de cheval, auquel le tycoon français du luxe n’a pas encore publié de réponse officielle ou peut-être une réponse aux chèques restaurant. Cette dernière polémique meurtrit davantage l’image de la maison du maître de Granville sur le continent de l’empire du milieu. Voilà donc le design d’une bipolaire qui, en langage maison, présente cette bipolarité en une « maniaco dépressive branchée ». Pour lire plus cliquer ici

PAS JOLIE JOLIE L’ATELIER

Chloé et sa nouvelle marque, « l’Atelier Jolie », d’Angelina Jolie créant une capsule qui, selon la maison de couture française, célébrera la féminité, les tatouages, l’anorexie et la double mastectomie sans ovaires sur Oise ; un vrai cocktail de la féminité, en effet !
La capsule sera signée par la directrice de la célation de Chloé, la baba cool nostalgique des années 70, et la plus fortunée des couturières, bien qu’elle ne soit pas la petite fille du magnat de la presse féminine, car elle est née Perezutti, et le bull-shit habituel sur la protection de la planète.Pour lire plus cliquer ici